Philippus Livre VIII LE GUIDE PDF

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1

2

Philippus

LE GUIDE

+
Livre VIII
Edition Gratuite
3

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LE GUIDE
Premiers messages
2016

5

6

- MESSAGES 011
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Lisez
+ 1 Les choses de la terre et les choses du ciel
+ 2 Entre parenthèses
+ 3 De la réincarnation
+ 4 Revenir
+ 5 Mensonges et silences
+ 6 Ici ou ailleurs…
+ 7 Energie
+ 8 Les roues tournent
+ 9 Vos histoires.
+ 10 Les astres
+ 11 La mort
+ 12 En retard
+ 13 L'eau sera versée
+ 14 Comptez-vous
+ 15 Déserts verts
+ 16 La fin de vos religions
+ 17 Justices
+ 18 Lisez de nouveau
+ 19 Inversés
+ 20 Le trou
+ 21 Le libre arbitre
+ 22 Réussites
+ 23 Posez les armes. Ne levez pas les mains
+ 24 L'invisible
+ 25 Sept années
+ 26 Les différents
+ 27 Emetteurs et récepteurs
+ 28 Arrêtez-vous
+ 29 Sciences et techniques
+ 30 Réincarnation ou résurrection ?
+ 31 Quel peuple élu ?
+ 32 Moines et chercheurs
+ 33 Vos identités
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+ 34 La force des choses
+ 35 Les usuriers
+ 36 Quelles valeurs ?
+ 37 La religion unique
+ 38 Dieu et les sages
+ 39 Le temps
+ 40 Le verbe EST
+ 41 Il n'y a pas de mal
+ 42 Textes incomplets
+ 43 Une fin arrive
+ 44 Liberté commune
+ 45 Vous manquez à vous-même
+ 46 Vos prières
+ 47 Extrême
+ 48 Ne prenez pas le passé
+ 49 L'époque
+ 50 Sciences libératrices
+ 51 Les chiffres
+ 52 N'êtes-vous pas fatigués ?
+ 53 Si vous saviez
+ 54 Mille années
+ 55 Marie
+ 56 Abraham
+ 57 Moïse
+ 58 Adam
+ 59 Prophètes et guides
+ 60 Religare
+ 61 Esprit d'amour
+ 62 L'esprit de Noé
+ 63 La liberté
+ 64 L'avoir et l'être
+ 65 Energie et vivant
+ 66 Vos vérités
+ 67 Vos propriétés
+ 68 Miracles
+ 69 Causes et conséquences. Causes ou conséquences ?

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+ 70 Ne dites plus
+ 71 Fin d'une époque
+ 72 La mort
+ 73 De là-haut
+ 74 La solitude de l'âme devant l'esprit
+ 75 L'acquis.
+ 76 Les artistes
+ 77 Le philosophe et le sage
+ 78 Qu'aimez-vous ?
+ 79 La tristesse du sage
+ 80 S'il n'y avait rien
+ 81 Théories et idéologies
+ 82 Entre les lignes
+ 83 Le testament
+ 84 Vers qui se tourner
+ 85 Nature et destructions
+ 86 Minorité
+ 87 Folles inventions.
+ 88 Le temps de vos heures
+ 89 Que recevez-vous
+ 90 Qui souffre en vous ?
+ 91 Le nom
+ 92 Mohammed
+ 93 Le mur
+ 94 Un autre temps
+ 95 Ailleurs et au-delà
+ 96 Religions sans esprit
+ 97 Statisme
+ 98 Immortel
+ 99 Le combat des prophètes et du sage
+ 100 Vous citez
+ 101 Conscience divine
+ 102 La fin d'une mission
+ 103 Dernière et première religion
+ 104 Où sont les pages ?
+ 105 Sur un piédestal
9

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225
227
229
231

+ 106 Vos modèles
+ 107 La destination
+ 108 Avoir et pouvoir
+ 109 Encore tant d'esclaves
+ 110 Au nom de la paix
______________________________

223

Le calendrier des sages
______________________________

237

LE LUSTRE Présentation

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251
257
267
273
281
289

Livre I L’ETRANGER
Livre II PRENEZ-EN AINSI CONSCIENCE
Livre III PROPHETIE PRESENTE UNIVERSELLE
Livre IV DU LOTUS ET DE LA ROSE
Livre V LE DERNIER PROPHETE
Livre VI PARAKLETOS
Livre VII LE DJIHAD OU LE COMBAT D'ARJUNA

297

Le Lustre

10

Lisez
Où que vous soyez mes frères et mes sœurs, vous attendez. Oui
vous attendez un guide. Vous mes frères sous le soleil du sud
vous souffririez d'attendre le Mahdi depuis notre frère
Mohammed, pendant que vos frères et sœurs attendent plus
au nord le Paraclet depuis notre frère Jésus. Vous mes frères
plus à l'orient depuis bien plus longtemps, vous attendez le
retour de mon frère Krisna qui viendrait clore l'époque noire,
quand vos plus jeunes frères depuis notre frère Siddharta,
annoncent un sage maître, Maitreya. Et vous frères juifs, oui
vous, vous attendez encore le Messie, le second, afin de vous
donner raison après en avoir cloué un sur le bois ! Vous
attendez comme un aveu, celui de ne pas avoir cherché en
vous ce qui était en nos frères revenus hier. Mais êtes-vous
prêts à accepter la réunion de vos erreurs communes pour
écouter de nouveau le même message universel de mes frères ?
Lirez-vous, et ferez-vous autre le peu de temps présent qui
vous reste ou persisterez-vous à vous accrocher à vos corps et
à vos biens temporels au détriment encore de vos âmes et de
l'autre vie, par la vérité du vivant qui jamais ne vous a
abandonné ? Lisez.
+

11

12

+1
Les choses de la terre et les choses du ciel
De tous les temps il vous a été dit des choses sur la terre et des
choses du ciel. Les écrits laissés par mes frères ne vous parlaient
pas de l'air qui supporte les oiseaux mais d'un ciel à aborder par
vos esprits. Seule réponse à trouver afin de mieux comprendre les
choses et les situations de votre terre. Terre passagère, terre d'exil,
et non créatrice de votre personne. Vous existiez avant de naître,
vous existerez après ce que vous appelez la mort. Mort du corps,
pas sa vie qui retrouve le vivant spirituel. Il y a plus de cris en
arrivant sur terre qu'en la quittant, il y a plus de regards sereins en
la quittant que de cris réels. Le vieux sait qu'il partira, sa jeunesse
le savait déjà. Qui en lui le sait plus, qu'il ne le croit par les autres
? Vos pères vous parlaient de paradis pendant que d'autres
brandissaient l'enfer pour vous maintenir en place, la leur, mais
pas plus que vous ils ne savaient en eux. Tous mes frères vous ont
parlé des choses du ciel, lieu situé derrière le passage de la mort,
derrière le miroir, après le dernier souffle, au cœur. Résurrection,
réincarnation, paradis, terre promise, lumière, pourquoi ces mots
sont restés dans des filtres de haines et non d'amour ? Pourquoi
cette seule explication ne vous soulève pas plus de questions qui
vous apporteraient les réponses, sur, et pour, votre vie ? Votre vie
13

et non le vivant, celle partielle et non celle de vos âges réels. Vous
vous sentez vieux de corps devant les jeunes, le sage se sait
vieillard par son âme devant trop d'enfants qui manquent d'esprit.
Votre âme retrouve un corps après avoir bu un peu d'eau sur les
rives du lac Léthé, elle oublie un moment, temps nécessaire, à la
poursuite de son cheminement. La réincarnation est en cela. La
résurrection "première" est par cela. L'âme est descendue, puis
redescendue, afin de remonter, puis un jour remonter pour la
dernière fois. Méditer cette réincarnation résurrection, elle vous
offre un trésor de réponses pour comprendre votre temps terrestre
et trouver ou retrouver votre cheminement. Ce qui EST est le
positif. Pourquoi souffrez-vous, hommes ? Pourquoi continuezvous à vous fracasser chaque jour la tête sur le mur des mauvaises
habitudes ? Sur des murs de lamentations ? Pourquoi voulez-vous
un paradis sans le moindre effort en vous, ou en perpétuant le
néfaste quotidien de vos pères ? N'entendriez-vous pas leurs
regrets parfois avant le dernier souffle au cœur ? Auriez-vous un
sens à présenter à votre vie sans la notion la plus durable du vivant
face à ces quelques minutes de la vie dans l'éternité ? Ce qui EST
est en vous par la graine qui vous porte ici, comme là-haut. L'âme.
Vous avez abordé par vos pères l'esprit, vous parlez de spirituel,
mais comme des religieux dans la pénombre. Point comme celui
qui met sa lampe sur le boisseau pour éclairer sa vraie famille.
+ 21.07.2014

14

+2
Entre parenthèses
Après avoir repris la plume en ce lundi de juillet, je me suis
endormi. Mon esprit était paisible, pas un rêve, pas d'images
insensées en moi par mon abandon nocturne. Un réveil brusque,
un œil sur la machine du temps qui me signale 00.21. Les yeux
bien ouverts c'est là que je vis sa présence. Quelques secondes
bien réelles. Il était assis face à moi sur le lit. Je ne vis que le haut
de sa forme, il était couvert comme d'un vêtement fait d'une
étoffe simple, sombre, longue certainement, non comme l'habit
d'aujourd'hui. Son visage était clair à ma vision. Il portait la barbe
courte et la moustache, il avait les cheveux en bataille, bouclés,
comme une lumière présente dans le noir donnait le reflet à son
physique et le rendait à demi blond. Surpris, je ne pu que
réactivement tendre la main comme pour fendre l'air, avant qu'il
ne disparaisse et qu'ensuite une énergie traversa mon corps. Mon
souvenir au réveil était trop frais, trop précis, trop en moi. Son
visage était gravé, celui d'un être, d'un homme, qui devait se situer
entre trente et quarante ans. Pourquoi avoir tendu la main comme
pour le chasser, alors que toute mon âme le réclamait afin de me
sentir moins seul en ce monde ? Au petit matin, me remémorant
cet instant récent, je me souvenais aussi de ces vingt dernières
années. Vingt ans qu'une nuit d'été, en juillet, il m'avait été donné
de voir, les yeux doublement ouverts, le passage entre ce monde et
15

le réel, que depuis, mon esprit retrouvé avait semé par les mots et
la plume. Reviens mon ami, reviens mon frère. Même si je sais ne
pas être seul, l'enferment m'isole de vous et ce monde en son état
me désole l'âme.
+ 22.07.2014

16

+3
De la réincarnation
Vous ne revenez pas dans un corps par force. Votre présence de
nouveau sur terre, ou ailleurs, est de votre demande pour
continuer votre cheminement et apporter aux autres votre pierre
universelle. Vos inutilités sont le reflet de votre inutilité au-delà,
par cela vos désirs de partir en fin de temps terrestre et de
redescendre à un autre moment. Notion de temps et d'espace
différents. Vous êtes dans un monde horizontal dans le corps avec
les autres hommes, vous êtes dans un monde vertical dans l'autre.
Vous avez le temps affiché au poignet dans l'enfermement d'un
corps, vous avez l'espace comme environnement dans l'autre. Sur
terre les plus sains sont assis à côté des plus ténébreux, au ciel les
plus ténébreux sont plus bas et les plus lumineux sont plus haut.
La lumière efface les sombres. Seul celui qui éclaire peut
approcher les niveaux inférieurs. Considérez sept cieux au-delà de
la carne, sans le corps. Ainsi les sains éclairent bien plus les
entités que les hommes sur terre, sans le corps pesant rendant
invisible bien des choses et des âmes. Vous existez par la matière
à vous entendre, mais en quoi fondamentalement existez-vous,
alors que votre temps incarné ne représente que quelques minutes
dans vos âges réels ? Votre temps vous permet d'avoir, de
pouvoir, vous ne voyez pas l'intensité du temps bien plus créatrice
et libératrice pour vous. Vieux en vain vous êtes pour beaucoup
17

d'entre vous. Vous pleurez sur les morts partis trop tôt selon vos
critères, mais combien désireraient parmi eux redescendre aussitôt
chez les leurs ? Vos larmes sont égoïstes car vous ne savez pas.
Vous êtes joyeux quand l'âme arrive en la matrice mère, qui
souffre pour faire naître le petit homme, mais vous ne voyez pas
l'âme de retour par manque. Le sain le voit affluer ce trop plein
d'âmes en cheminement, que peu sont en mesure de savoir
orienter. Vos principes sont inversés. Le sain n'attend plus de
descendre, il guette la remontée et l'indique à ses frères. Vous
désirez encore trop des héritiers qui se chargent de vos fardeaux et
qui remontent alourdis par le vide entretenu en eux. Ne sentezvous vraiment pas que vous êtes des étrangers dans vos corps ?
Penseriez-vous fondamentalement que seule votre vie terrestre
présente peut se justifier par elle-même donnant raison à votre
environnement global dans l'erreur ? Ne seriez-vous pas à raison
tous des monstres si cela était vrai ? Qui a-t-il comme acquis en
vous préalablement à votre existence physique, et d'où cela, et
pourquoi vous ? Pourquoi n'y a-t-il pas profusion de sains et de
prophètes sous le même toit, sous votre ciel étoilé ? Ne croyez pas
en la réincarnation, une partie d'entre-vous à l'orient en a fait une
croyance religieuse par le temps, à l'inverse des paroles de mon
frère. Attendre n'est pas la raison pour justifier un retour meilleur,
le retour final sans redescente ensuite, ni la raison qui justifie la
vraie résurrection, la dernière résurrection dans le vivant. Point
sur terre, ou ailleurs.
+ 23.07.2014

18

+4
Revenir
Pourquoi revenir ? Parce que vous avez omis la recherche, parce
que vous avez oublié la raison de votre être, parce que vous ne
vous vous posez pas les questions, parce que vous suivez les
troupeaux sans être maître de vous-même. Dans l'avoir vous
prenez quand vous ne volez pas, conscient ou non de vos actes.
Vous suivez vos vies temporelles en oubliant le vivant infini.
Vous ne sauvez personne, vous fuyez la plus grande partie de
votre temps, parce que vous ne savez pas, parce que vous ne
cherchez pas. Vous avalez le verbe faux que vous entretenez, que
vous considérez comme un trésor de vérité qui fait de vous,
pendant un instant, un esclave de l'illusion. Et quand puissant par
vos matières et vos pouvoirs sur les autres vous avez, vous créez
encore plus d'illusions. Pourtant en vous est le rappel, en vos
consciences, parfois. Qui ou quoi vous rappelle ? Vous avez
beaucoup sans esprit, enfermé dans le corps, vous aurez sans lui,
peu de rayons pour vous éclairer, et vous ne brillerez plus. Rois et
princes, chefs et puissants en cette vie, vous serez mendiants à la
porte de vos anciens palais en revenant au plus bas encore,
ailleurs. C'est que le ciel que vos yeux observent, ciel de plus en
plus éloigné par les moyens qui vous ont été donnés pour voir,
19

vous rend encore invisible, l'ailleurs matérialisé. Vous ne voulez
voir les vérités propres à votre niveau terrestre car les
changements perturbent vos avoirs, que voudriez-vous voir d'autre
de plus subtil ou à comprendre qui dépassent vos pouvoirs ? Vous
aussi, chefs spirituels, par les pouvoirs et les biens, même en
clamant le plus haut vous vous fourvoyez comme vous éloignez
les troupeaux que vous trompez. Mes frères s'enveloppaient-ils
dans les plus belles étoffes, et s'alourdissaient-ils de pierres que
vous pensez précieuses, et se couchaient-ils dans la dorure ? Vous
prêchez la pauvreté, vous serez entendus, elle sera sombre. Vos
avoirs et vos pouvoirs restent des épreuves, et vous y tombez
facilement. Rares les sains et les justes sur les sièges placés en
haut ici-bas. Ces vrais sont plus nombreux dans vos rues et plus
humbles mais ils ne sont pas écoutés et ils vous dérangent aussi.
Vous êtes les alliés des pouvoirs, des pires, depuis trop longtemps,
vous ne servez pas les âmes, seulement les cultes et vos intérêts.
Les premiers restent toujours les derniers quand le corps ne cache
plus le passé et le non fait ou le mal fait. Les pauvres sont plus
facilement pardonnés dans leurs erreurs car ils n'ont pas vos
savoirs et vos sciences. Le voleur de pomme est un saint homme
en d'autres lieux, pas celui qui trouve abondance chaque jour en
pillant le monde et qui se veut exemplaire.
+ 24.07.2016

20

+5
Mensonges et silences
Vous mentez par omission et vous restez dans le silence pour
éviter d'exprimer les vérités. Si vous n'exprimiez pas par manque
la vérité spirituelle, vous ne seriez pas jugé sur cela, mais sur vos
mensonges terrestres desservent vos actes et qui révèlent votre
verbe faussé, votre âme. Vous pensez encore que toutes vérités ne
sont jamais bonnes à exprimer, et par cela vous encouragez les
pires choses et comportements humains. Les moins nombreux
auraient toujours plus à perdre que les plus nombreux qui les
servent en esclaves. C'est vrai que vos vérités sur terre serviraient
plus les masses équitablement, et ce, dans la justice unique, que
vos lois faites pour et par la minorité. Les parties de vos jeux
d'échecs sont toutes inscrites. Les pions victimes aussi.
+ 24.07.2014

21

22

+6
Ici ou ailleurs…
Vous ne croyez plus que la terre est le centre de votre monde
comme jadis, croyez-vous aussi que demain vous ne reviendriez
qu'en ce faux centre ? Pensez-vous que l'univers, celui dont vous
commencez à peine à entrevoir avec vos moyens, ne renferme pas
d'autres lieux ? Vous cherchez des autres sphères mais loin encore
vous êtes pour comprendre l'invisible aux yeux. Votre univers
n'est qu'un parmi d'autres, et tout tourne comme vous tournerez
pour revenir. Vous vous sentez seuls et puissants parce que vous
n'allez pas encore très loin hors de votre bulle. Qu'iriez-vous faire
de plus trop loin quand vous ne savez voir au plus près ce qui est
en vous ? Qu'apporteriez-vous aujourd'hui à d'autres êtres que vos
fausses puissances ? Pourquoi eux se font discrets chez vous, par
le fait que vous êtes loin de leurs savoirs ? Mais de l'autre coté,
quand vous redescendrez, pensez-vous aussi que seul votre terre
vous recevrait de nouveau ? A voir vos actes monstrueux et vos
vies, n'existerait-il pas des endroits à ce niveau ailleurs ? Aux plus
sains et plus justes, n'existerait-il pas des sphères à ce niveau
ailleurs ? Nous parlons bien de sphères matérialisées, pas de
désincarnation. Vous ne verriez jamais en vos consciences les
réponses aux questions que vous ne vous vous posez pas, ou plus
23

depuis longtemps ? Pourtant certains savent, pourtant certains
cachent, pourtant certains mentent parmi vous. Vous avez peur de
voir vos principes injustes et vos croyances s'écrouler trop
rapidement, ou est-ce vos fausses valeurs que vous craigniez de
perdre encore plus vite ? Vous conservez le faux au détriment des
majorités, et quand parmi elles des témoins parlent trop haut de
ces choses, vous les rendez muets. Préfèreriez-vous, demain,
apporter du positif en un pays meilleur et plus sain, ou apporter
votre ombre dans un pays plus sombre ? Combien de rois et de
princes se sont retrouvés ensuite mendiants devant les portes de
leurs anciens palais ou en d'autres sphères où les palais étaient
encore loin d'exister ? Ne vous a-t-on pas expliqué comment était
votre terre hier, et comment vivaient vos prédécesseurs avant vous
? Pourquoi eux hier sur terre en son état d'alors, pourquoi vous
aujourd'hui en son état présent ? Vos sens ne vous indiquent-ils
plus la direction de la logique et la source des bonnes questions,
ou êtes-vous trop esclaves désormais comme vos faux chefs par
les avoirs et les pouvoirs ? Arrêtez de compter vous perdez le
verbe.
+ 26.07.2014

24

+7
Energie
Vos pères ne pouvaient voir avant vous que le macrocosme sans
l'aborder, vous vous connaissez désormais le plus petit invisible à
vos yeux mais le plus important n'est toujours pas visible. Au plus
proche du plus grand qu'est l'univers, au plus petit dans les
cellules, vous ne faites toujours pas les rapprochements. Vous
usez vos énergies propres sur des terrains inutiles et quand elles
vous font évoluer vous engendrez plus de conséquences néfastes
nouvelles que vous ne vous offrez de libération. L'énergie libère
l'homme, c'est un trésor qui est donné pour l'humanité comme les
fruits qui furent donnés à tous et que vous volez à tous. Le vivant
est la plus belle énergie qui vous fait exister et mouvoir dans
l'univers comme sur votre terre. Cette énergie fait tourner toutes
les planètes de l'univers, des univers, par cela vos matières, par
cela vos mouvements, par cela la multitude et la diversité infinie.
Rien n'est identique par cela, ici et ailleurs. Il y a plus de matière
invisible que de visible. Par cette énergie universelle, chaque
sphère dans les univers est réactive, et elles le sont aussi par les
comportements de ses habitants. Mais eux détiennent par leur
vivant le libre arbitre par leurs consciences et ne sont pas par le
corps provisoire des choses mais des personnes. Si vous n'êtes pas
25

en synergie avec les autres vous êtes seul, si vous allez contre
l'univers et son mouvement par vos paradoxes, vous allez à
l'encontre de ce qui doit être pour vous, mais LUI ne change pas.
Voilà l'erreur humaine de vos âmes, vous refusez l'esprit vous
récoltez l'erreur, le temps suivant, les conséquences. Vous êtes
plus utiles de l'autre coté que dans la carne, mais vous survivez
comme si ce temps provisoire et extrêmement limité était votre
éternité. Qu'avez-vous appris de vos pères, que n'apprenez-vous
pas de vous-mêmes alors que tout vous est disponible, pour
continuer ainsi majoritairement à suivre le troupeau des brebis
égarées ? Vous sentez-vous plus souvent comme des électrons
libres et positifs ou dans un simple courant négatif des autres qui
vous dirigent sans plus d'esprit que vous-même ?
+ 27.07.2014

26

+8
Les roues tournent
Les univers sont comme des roues à engrenages entre eux qui
répercutent le magnétisme sur l'ensemble des multitudes de
sphères qui les constituent. Une roue fait toujours une révolution
mais toutes ensemble elles interfèrent sur les autres. Vos astres
vous parlent mais vous ne répondez que par le statisme
conservateur que vous prônez. Vous ne prenez pas par cela le
temps pour ce qu'il est, et vous vous rendez esclaves et méfiants
de vos semblables, et vous vous perdez, tous. Vous avez
conscience, un minimum, que vos vies sont incomplètes et dans
des voies difficiles, parfois trop. Par cela vous ne recherchez en
vous, mais extérieurement des solutions d'avoir et de pouvoir afin
de rendre plus confortable votre temps présent. Votre temps n'est
pas présent, vous servez le passé des autres et vous le reproduisez
au futur proche, le vôtre. Pire, vous le transmettez comme la règle
à vos héritiers en leur souhaitant le meilleur, celui que vous n'avez
pas trouvé. Vous vivez, mais qui vous parle de la vie, si ce n'est
les quelques plus sages que vous n'abordez que très rarement, ou
en les mettant sur un piédestal tellement haut, comme pour vous
assurer de ne jamais pouvoir les atteindre ? Mes frères ne vous
ont-ils pas laissé hier en diverses contrées les fondements pourtant
27

universels qui étaient en eux et qui sont toujours à ce jour en vous
? Mais quels sages hommes écoutez-vous encore aujourd'hui
depuis des siècles ? Ecouteriez-vous la aussi des hommes de
pouvoir qui se présentent à vous par leurs avoirs ? Ne croyez-vous
pas que leurs recettes ne font pas de miracles, et que les sages ne
sortent pas de leurs écoles ? Combien de brebis égarées ont-elles
été rendues dociles et sans esprit puis menées inconscientes aux
abattoirs du monde par eux ? Pourquoi refusez-vous de savoir
pour uniquement entretenir vos corps par leurs fins ? Il ne s'agira
plus désormais de croire, mais de retrouver le savoir par l'esprit,
qui est la seule énergie libératrice qui vous rendra le seul et unique
pouvoir à avoir.
+ 27.07.2014

28

+9
Vos histoires.
Votre passé revient au présent, mais en nombre plus important
vous êtes, et vous n'avez plus de pays voisins à montrer comme
coupables. Tous vous êtes dans le même culte par le plus puissant
qui lui n'en a pas et qui s'est imposé par ses chiffres, et par cet
avoir, est devenu pouvoir. Esclaves vous êtes tous en cette
époque, que vous ayez ou que vous soyez dans la volonté de
prendre. Votre avenir se calcule mais les plus gros chiffres ne
peuvent plus vous servir. Ceux que vous avez converti aux
chiffres prennent vos places et les puissants parmi vous se
délectent de ces nouveaux cheptels. Les histoires de vos pères
étaient les mêmes avant vous, mais eux ne voyaient pas encore le
bout de la terre. Que voulez-vous faire aujourd'hui ? Accusez les
autres planètes et ceux que vous ne voyez pas, ou que d'autres
cachent encore à vos yeux ? Qui voulez-vous accuser maintenant
que le monde est soumis à la même erreur ? Vous voudriez
combattre qui de plus coupables que vous ailleurs ? Ne vous a-ton pas dit que tuer c'est se tuer, quand un de mes frères sous les
triangles de pierres s'adressait à celui qui se prenait pour un dieu ?
Ne voyez-vous pas que cette époque est une guerre en continue
entre esclaves alors que les maîtres comptent les points contre les
29

leurs ? Ils parlent de paix et ils sèment les armes, vous parlez
d'amour mais devant vos manques vous redevenez des soldats.
Vos armes sont vos chiffres, ceux que vous ne voulez partager.
Mais vos logiques mathématiques n'ont plus aucune règles et
votre mécanique s'enraye. Regardez vos temps passés éloignés, et
constatez le bond en avant fait en moins de quelques générations.
Où pensez-vous aller ? Que cela sans changement pour demain ?
Pourquoi maintenant ? Vous pensez encore que l'homme seul a
évolué en si peu de temps ou seulement par les sciences insufflées
intuitivement ? Vos matières évoluent mais sans conscience vous
engendrez la ruine de vos âmes. Vos savoirs peuvent sauver et
vous laissez vos frères pour avoir toujours plus. Aussi intelligents
et fermes que vous le soyez, en rien vous n'avez un plus qu'eux.
Vous restez temporels dans l'autodestruction par la souffrance. Et
les meilleurs, les plus justes, les plus sains, les plus clairvoyants,
hier et aujourd'hui, ne seraient bénéficiaires de la vraie richesse à
un moment, ailleurs et ailleurs ? Vos mains pleines des innocents
ne sont toujours pas par les poches pleines des autres par leurs
manques.
+ 28.07.2014

30

+ 10
Les astres
Pendant une période vous aviez vos saisons et les buffets étaient
servis en ce monde. Puis par vos comportements vous avez volé
les fruits pour les vendre. Vos astres vous servaient mais
dorénavant vous êtes dans une autre ère. Vous donnez des noms et
des symboles sur les étoiles, sur les astres, vous avez vu l'époque
du bélier, vous avez vu celle du poisson, elles vous nourrissaient
paisiblement, vous entrez dans l'époque de l'eau. Mais vous ne
voyez pas ce qui se passe et le rendez-vous qui arrive à l'heure par
l'effet des univers entre eux redistribue les cartes. Des portes sont
ouvertes aux énergies positives, des portes s'ouvrent contre les
négatifs. Vous abîmez vos bases, l'univers vous répond. Une ère
de vérité commence et l'eau versée va nettoyer le monde. Le
magnétisme universel reconnaîtra les siens. N'insistez plus. Les
mouvements des univers font réagir différemment tous les astres
et rapprochent certaines planètes d'autres et de la vôtre. Vos frères
chez vous, vous les ignorez, mais quand les frères d'ailleurs
deviendront officiels, vous comprendrez par vos manques.
+ 28.07.2014

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32

+ 11
La mort
Vous parlez de fin alors que vos vies ne sont qu'une étape
passagère. Vous craigniez la libération par la peur des fausses
promesses qui vous tiennent en état de soumission, uniquement.
Par la mort vous devriez en pleine conscience aborder vos vies
loin de l'illusion. Vous ne maîtrisez rien, pas plus que ceux qui
vous maîtrisent sur terre en vos états. Celui qui sait se libère et
loin de lui l'idée de maîtriser les brebis face à lui. Ce serait des
brebis conditionnées qui deviennent des loups face à la colombe.
Votre présent est fondé sur le passé des autres, point sur le savoir
et la vérité future qui feraient de vos présents un paradis collectif.
La mort fait vivre les sains et ils l'attendent avec impatience
parfois. Qui donne aux saines âmes leur juste part, si les enfermés
par le corps ne sont pas même en mesure de les reconnaître ni de
suivre leur verbe universel ? Pourquoi dans vos cultures, dans vos
textes fondateurs, dans vos formes, vous exprimez paix et amour,
équité et justice, sans pour autant acter tous ensemble vers ces
sens, depuis longtemps ? Pourquoi ces sens positifs exprimés alors
que vos verbes et vos actes restent dominant sur l'inverse, en
révélant que vos âmes sont sans esprit ? L'énergie spirituelle ne
fait pas tourner vos vies dans le sens de vos attentes temporelles
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mais dans celles des réponses universelles. Vous marchez contre
le vent bienfaiteur, vous ralentissez et vous perdez vos propres
énergies. Vos consciences vous disent de savoir dire non, mais
bien avant la peur de la mort, vous êtes peureux de vos vies. Vous
voulez garantir vos efforts au point de vouloir faire reculer vos
rappels, mais un corps jeune ou vieux sans conscience ne sert pas
l'intemporel dont vous êtes. Vieux en vain par vos assurances sur
la vie vous seriez. Le nouveau arrive en pleurant, le sain repart
avec le sourire en lui, même martyr par vous.
+ 29.07.2014

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+ 12
En retard
Vous êtes dans un environnement avec ses sciences et ces
dernières servent des privilégiés, mais ne soyez pas envieux sur
eux, si vous saviez, mais surtout s'ils savaient… Vos sciences sont
insufflées à quelques hommes mais les conséquences sont dues à
vos manques d'évolution, à vos manques d'esprit. Vous ne profitez
pas des révélations, trop souvent après un temps, vos savoirs vous
desservent. Vous en faites vos malheurs en voulant les thésauriser
comme le reste. Ce qui n'est bénéfique pour les autres ne le sera
jamais à terme pour l'individu. Si ce qui est bon pour vous l'est
pour tous les autres, alors c'est universel. Vous fonctionnez contre
vos semblables, vous fonctionnez contre le courant magnétique
universel, vous perturbez alors vos vies et le vivant qui est en
vous. Vos réussites sont des échecs vus avec bien plus de hauteur.
Vous êtes minoritaires sur le profit de vos savoirs matériels et par
cela vous empêchez la terre de répondre à l'univers qui n'attend
pas. Où êtes-vous quand le sol tremble, quand les eaux montent,
quand vos excès ne protègent plus vos civilisations ? Où sont les
précédents que vous citeriez encore comme les plus grands et les
plus puissants en oubliant les plus sages qui les prévenaient ? Ne
lisez-vous plus les prophètes et les clairvoyants qui avaient hier
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plus d'esprit en mouvement en eux et qui parlaient même d'un
temps futur, le vôtre ? En avance ils étaient devant vos semblables
hier. A moins qu'ils vous parlaient déjà face à face en ces temps
passés.
+ 29.07.2014

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+ 13
L'eau sera versée
Vous revivez dans la carne des périodes comme vous vivez les
saisons des rotations de votre sphère. Mais rien n'est immuable
entre les astres et leurs mouvements sinon vous ne seriez pas
passés des époques de vos ancêtres à la vôtre ce jour. Le
changement n'est pas par les hommes mais part l'énergie
différente qui arrive de l'univers en vous. Vous pensez avoir
évolué, mais vos acquis sont plus matériels que spirituels, d'où vos
mauvais usages qui ne vous libèrent que de peu de choses. Ce
décalage vous fait exprimer, vous aussi, un magnétisme, négatif,
qui vous fait agir en opposition avec l'univers, bien plus puissant.
Ainsi vous êtes soumis à l'unique force, non pas celle que l'univers
vous impose, mais par l'unique et saine puissance avec laquelle
vous luttez en pleine inconscience, inutilement. Et vous êtes les
perdants. Vous êtes toujours absents à l'heure des rendez-vous que
vous vous infligez, nombreux les hommes qui y perdent tout, qui
y perdent leur vie, pour une suivante. Noé vous parle-t-il encore
par vos saisons qui s'affolent et qui sous la chaleur vous fait
monter l'eau ? Mais l'eau de la vérité, qui désire la boire alors
qu'elle vous est offerte depuis toujours par le verbe de mes frères ?
L'heure est celle où l'eau commence à verser son trop plein, pour
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noyer votre trop plein d'injustices. Vous ne savez dire non, ou
vous n'y avez pas intérêt, vous verrez.
+ 30.07.2014

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+ 14
Comptez-vous
Vous appréciez les chiffres en comptable, mais vous n'aimez pas
le verbe pour les tristes bilans. Combien de tueries entre vous
depuis le message de mon frère en Egypte ? Combien étaient-ils
hier face à lui et pourquoi face à vous ce jour autant d'hommes qui
reviennent depuis, et qui continuent à s'entretuer ? Oui vous, les
plus puissants, les plus pacifistes en verbe, vous êtes entendus
plus que d'autres. Si vos mains sont blanches vous êtes les plus
coupables dans vos palais dorés, et vos peuples sont devenus
inconscients pour continuer à avoir comme vous. Vous pillez le
monde et vous montez les plus pauvres entre eux hors de vos
barrières protectrices, vous les montrez comme des coupables,
comme des monstres que vous incitez par vos comportements.
Tuer ne concerne pas que celui qui brandit le métal, l'âme est plus
tueuse en vos contrées voleuses que les mains des plus pauvres.
Plus vous tuez, plus votre sol se rétrécit sous vos pieds par le
nombre qui revient, et plus vos charges s'alourdissent. La terre se
réduit, par vos sciences non distribuées, par de nombreux retours
des coupables passés. Recomptez rapidement, vos compteurs
s'affolent et vous ne les suivez plus, vos propres principes injustes
se détruisent de l'intérieur. Maintenant que le monde est monde
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par vos avoirs et vos pouvoirs, ne pensez pas pouvoir étendre vos
systèmes au-delà de la terre, vous n'êtes pas aptes ni autorisés
universellement. Assumez. La seule sortie est et sera toujours la
même, elle n'a jamais été fermée aux hommes plus sains que les
autres. Vous voudriez couvrir encore le summum de vos erreurs
au niveau mondial pour ne pas avouer la vérité ? Attention, vous
ne pouvez plus jouer avec le feu sans recevoir un retour de
flamme immédiat. Asseyez-vous devant un frère et écoutez-le,
lisez-le, l'unique solution existe toujours, même sur vos plans
matérialisés et physiques.
+ 30.07.2014

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+ 15
Déserts verts
Vous avez eu la mère nature pour offrir ses bienfaits, vous en avez
fait des déserts de solitude par endroit en supprimant ce qui vous
protégeait hier. Partout vous retirez le vivant existant, qui est la
branche sur laquelle désormais vous êtes tous assis. Vous avez eu
chaud, vous avez eu froid, demain, bientôt, vous reverrez le vert
après le blanc, vous reverrez le vert sur les dunes de vos déserts
de sable. Vous avez cherché en dessous vos avoirs par vos
pouvoirs, alors que la richesse pousse au dessus à portée de vos
mains, pour tous. Vos aveuglements sont tellement emprunts de
naïveté primaire que désormais vos plus pauvres endroits
deviendront les plus riches car eux offriront le nécessaire. Vous
plantez des murs de pierres, vous oeuvrez chaque jour sans rien
apporter au collectif, vous pillez les granges du monde mais, il
existe une bonne fin dans toute mauvaise fin. Sans vos biens
comptables, vous ne seriez pour beaucoup plus en mesure de
remplir votre assiette. Qu'apportez-vous aux hommes, et que
laissez-vous derrière vous pour après vous ? Après ne serait-ce
pas encore pour vous ? Vous avez dépassé les nombreuses lignes
rouges depuis un bon moment comme vos pères jadis, mais eux
étaient moins nombreux que vous, et ils ne connaissaient pas les
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limites de la sphère. Vous cherchez les hauteurs et pour vos abris
fermés, vous rechercherez les cavités des montagnes pour vous
loger, bientôt. L'eau arrive. Bienfaitrice aux innocents,
condamnation pour les égoïstes.
+ 01.08.2014

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+ 16
La fin de vos religions
Vous êtes les enfants de la religion faute d'être des savants et des
chercheurs. Pourtant à la simple lecture de vos textes vos
questionnements devraient vous transformer en révolutionnaire
par l'esprit. Comment pouvez-vous vous soumettre aussi bas
devant des hommes au nom de Dieu qui est votre unique porte
libératrice ? Ne savez-vous vraiment pas lire ou croyez-vous aux
hommes sans croire en vous, vous connaissant très bien ?
Mettriez-vous mes frères révélés depuis des siècles au même
niveau que vos ministres religieux que Dieu n'a jamais eu ? Vos
religions sont cultuelles et variables par vous et non par l'unique
fondement de vos textes qui se sont suivis avec l'unique verbe.
Vous ne saviez pas, mais dans vos majorités, pourquoi les sages et
les sains expriment-ils tous, sous toutes les latitudes, le même
résultat intérieur positif et universel ? Vos chefs ou vos gardiens,
expriment-ils le bien envers vous et pour vous ou servent-ils avec
régularité, vos malheurs et vos pertes ? Vos vies doivent-elles être
par la souffrance perpétuelle alors qu'en vous existe caché votre
paradis ? Vous croyez les prêtres divers comme vous croyez en
vos chefs qui s'imposent ou que vous choisissez selon, mais c'est
l'unique religion que vous élaguez. Celle qui vous demande le
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retour et qui vous tend la main invisible que vous insistez à
repousser. Soyez des moines chercheurs désormais, entrez en
vous, c'est le seul temple à bâtir, comme Abraham jadis. Vos
cultes ne sont pas vos actes quotidiens qui devraient servir le
groupe.
+ 01.08.2014

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+ 17
Justices
Vos balances sont déréglées car construites par vos bases
calculables. Vous obligez les petits qui ne peuvent, qui n'ont pas
vos chiffres, en leur imposant vos règles. Mais pensez-vous
réellement que vos actes resteront sans jugement, sans sentence,
sans condamnation ? Vous comblez sur le dos des autres vos
temps, mais le temps vous sera de nouveau donné, puisque vous
l'aimez tant dans vos enfermements. Vous ne savez oeuvrez pour
les autres, demain d'autres n'oeuvreront pas plus pour vous par vos
héritages inconscients laissés pour après vous. Si certains en eux
n'abusent pas de leurs semblables, sont-ils plus faibles pour autant
ou seraient-ils plus vieux par leurs vies passées pour, sans plus de
savoirs apparents que le vôtre, s'offrir naturellement à leurs frères,
sans limites, sans frontières ? Pourquoi la bonté en l'un et
l'égoïsme flagrant en l'autre ? L'enfant de quelques années avec
ses vérités profondes n'est-il pas un patriarche face aux vieux qui
se comportent comme des garnements ? Vos âges vous trompent
et vos aiguilles ne sont pas à la bonne heure. Vos graines de
mauvaises herbes, vous les retrouverez à vos pieds dans une ou
dans d'autres vies. La pierre jetée en l'air retombe toujours proche
du lanceur, ou sur le lanceur. Mieux vaut être victime de sa propre
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injustice en une même vie que d'attendre la prochaine, et ainsi
remonter allégé par la conscience juste. N'avez-vous pas en vous
la certitude que vos vies dans vos corps sont pour la
compréhension avant la suite ? Avec quoi repartirez-vous ? Vos
linceuls ou vos cercueils n'ont pas de poches ni de tiroirs, nus
vous arrivez nu vous repartez, mais alors quoi de plus ou de moins
devant la balance de l'univers ? Vous pensez sérieusement mais
toujours sans arguments, que vous n'étiez rien avant cette vie et
que vous seriez le néant après votre dernier souffle ? Si vous aviez
raison, alors assumez d'être librement pire que ce que vous êtes
sans limiter vos profits. Les sages vous prouvent vos erreurs en
exprimant tous le fondement inverse de vos pensées, pourquoi ?
Pourquoi n'y a-t-il pas de sages qui, depuis des siècles dans tous
les peuples et toutes vos contrées, ne laissent pas leur empreinte
de messager, de prophète, qui donne raison à votre enfer, à vos
pratiques, à vos actes injustes ? Pourquoi les civilisations
s'écroulent indéfiniment, et pourquoi toujours de faux maîtres face
à vous qui règlent vos balances, avec leurs poids ?
+ 01.08.2014

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+ 18
Lisez de nouveau
Mes frères savaient, mes frères se sont révélés, mes frères ont
récité, mais parce qu'ils avaient en eux retrouvé le verbe commun
identique. En eux ils étaient déjà libérés du corps tout en y étant
encore, un moment. Vous ne lisez plus leurs traces écrites, mêmes
incomplètes elles devraient soulever en vous les hypocrisies, les
paradoxes, et les mensonges qui restent des fausses bases. Vos
croyances comme vos idéologies diverses ne sont en rien les
reflets des sources de vos penseurs. Vous appliquez des récits au
premier degré pour justifier vos pires actes au nom de l'unique, et
les bonnes graines vous les éloignez de vos interprétations pour ne
pas vous révéler coupables devant les vôtres. Vos pensées, vos
croyances, s'inscrivent dans la condition humaine, seuls ceux qui
sortent du lot comprennent en ayant le courage du verbe, au risque
du corps. Mais eux savent que l'âme est à révéler par l'esprit plus
que le corps qui finira de nouveau en poussière. Ces sains savent
qu'ils sont des prisonniers physiques, mais eux attendent en pleine
conscience leur dernière heure libératrice sans aucune crainte.
Votre livre, vos bonnes nouvelles, votre récit, depuis quand les
répétez-vous par cœur et sans cœur ? Croire et attendre des
promesses, est-ce cela vos religions qui ne vous relient qu'aux
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erreurs transmissent de génération en génération ? Si l'encre sur
vos feuillets ne vous interpelle point pour contrer les faux qui
brandissent devant vous des dieux et des hommes, leurs droits et
vos devoirs, c'est que vous vous crevez les yeux pour ne plus vous
libérer. Vous préférez les saints aux sains, mais jamais vos verbes
ne sont accompagnés par l'esprit. Mais tout bouge par le
mouvement perpétuel pendant que vous voudriez arrêter le temps,
sans savoir même à quelle fin. Ouvrez-les tous ces livres, et lisezles de nouveau avec l'œil intérieur, soyez interpellés entre les
lignes, c'est là que la sortie vous est indiquée.
+ 02.08.2014

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Inversés
Vous voulez vivre et vous ne connaissez pas le vivant primordial
infini. Vous misez sur quelques secondes de temps comme des
coups de sabre dans une mer houleuse ou de tempête. Vous
souriez aux naissances car vous recevez des héritiers ou des
esclaves nouveaux sans comprendre les charges reçues. Vous
portez vos morts en terre par vos pleurs et ce qu'ils vous laissent
pèse encore plus sur vos temps d'enfermement. Vous prenez au
lieu de partager le bien commun universel, au lieu de libérer vos
frères en vous libérant. Vous craigniez Dieu par vos
incompréhensions et vous entretenez vos prisons corporelles, et
vous donnez ainsi raison aux puissants minoritaires entre vous.
Vous avez le libre arbitre mais vos erreurs vous font accuser les
autres hommes, et Dieu. Le buffet est servi gratuitement aux
hommes. Aux esclaves, aux citoyens, écoutez. Tous vous êtes
soumis aux voleurs qui vous privent de vos bases vitales. Vos
avoirs se paient en monnaie sonnante, mais vos dos sont tondus
par des sans le sou qui vous manipulent. Vous pensez être
puissant ou parmi les plus développés en vos contrées diverses,
mais de l'autre coté de vos pièces d'or vous ne voyez pas la vraie
valeur immatérielle bien plus longue. Vos dualités sont inversées
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en vous, par vous, le bien et le mal se confondent mais devant le
positif universel vous ne reflétez dans l'univers qu'un pôle négatif.
Vous ne comprendriez plus le principe des aimants physiques
parce que votre magnétisme n'aime pas le commun, le collectif,
l'univers. Vous luttez contre vous-mêmes dans vos vies, vous
souffrez en troupeau en imitant les autres. Vos messagers, vos
messies et prophètes, vos sains dignement différents de vous, en
quoi vous servent-ils par vos refus en vous ?
+ 02.08.2014

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