Rénovation des règles Warhammer JDR PDF


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Rénovation approfondie
des règles de Warhammer JDR
Salutations, rôliste.
Cette archive contient des règles que j'ai écrites en me basant sur de nombreux suppléments amateurs, dont le mod le Von
Krieglitz, les modifications du Ratier Bretonnien, de PowerBarbu, le Drend's Mod sur Vox Ludi, les suppléments de Kahlek et de
PoueT_T de warhammer-forum. Elle contient également la feuille de personnage que j’utilise avec mes joueurs, plus complète,
avec davantage de place pour noter les talents, équipements, et autres informations utiles comme la personnalité du PJ.
Cette introduction a pour but d'expliquer le pourquoi de ces règles : pourquoi les avoir réalisées, quel est le but de ces modifications, comment cela se répercute-t-il dans le jeu ? J’ai cherché à rendre les règles du jeu plus réalistes, conformes à la réalité
historique tout en respectant l’univers, et plus amusantes. Sans être un expert en histoire, j’ai quelques connaissances sur ce
que ça fait de porter une armure ou de combattre avec une hache. En effet, j’ai fabriqué intégralement une armure, telle
qu’elle aurait existé à l’époque. J’ai ainsi réalisé un gambison (une protection rembourrée) pour le corps, ainsi qu’une cale de
tête matelassé (sur le même principe de rembourrage) et un colletin, qui enserre le cou. Par la suite, j’ai réalisé un camail (une
cagoule de maille) et un haubert de maille, qui était tout d’abord à manches longues, mais que j’ai raccourcies à cause de la
gène. J’ai également fabriqué un bouclier selon les techniques historiques de cerclage et de rivetage à l’enclume. Pour finir, j’ai
acheté une épée et un casque en acier : je suis malheureusement incompétent pour fabriquer ce genre d’objet.
Il va sans dire que j’ai du faire beaucoup de recherches pour savoir comment réaliser ces objets. En bref, tout ce qui va vous
être présenté ici, et notamment les attributs des armes et des armures, est issu de la réalité historique. Par exemple, l’action
spéciale « Par-dessus les Défenses » utilisable seulement avec un fléau, s’inspire de l’utilisation des fléaux à l’époque : le fléau
permettait, grâce à sa longue chaîne, de faire passer le poids hérissé de pointes derrière le bouclier de l’ennemi. Là où une
arme rigide aurait frappé contre le bouclier, le fléau passe par-dessus et frappe tout de même.
Je pratique également le combat, l’ « escrime » médiévale. Je ne fais pas partie des associations de reconstitutions, mais je sais
faire quelques moulinets avec une hache, équipé d’un gambison. Les malus de port d’armure (par exemple) viennent de la
réalité historique, mais aussi de ma propre pratique. Porter un bouclier facilite effectivement la parade, mais la perte de mobilité est énorme (d’où le malus de port de -5 % Ag lors du port de bouclier ou d’une autre deuxième arme). Il en est de même
pour le port d’une armure. A présent, il faudra choisir entre la mobilité et la protection.

Prenons les modifications apportées dans l’ordre, et commençons tout d’abord par les nouveaux attributs pour les armes : je
les ai ajoutés pour introduire une plus grande variété entre les armes et leurs effets. Ceci correspond déjà à la réalité historique, et de plus cela apporte un comportement tactique à avoir. Un chevalier en armure subira plus de dommages en se faisant frapper avec un marteau, qui va enfoncer l’acier, qu’avec une épée, qui va ricocher dessus. Les joueurs devront choisir
leurs armes soigneusement, en fonction des attributs. Tout ceci est équilibré, tout à été testé, modifié, retesté… Aucune arme
n’est meilleure qu’une autre, elles ont simplement des avantages et des inconvénients. Le gourdin fait moins de dégâts que le
marteau, mais son prix est ridicule. Le fléau d’armes est très puissant, mais il est difficile de parer avec et il se manie obligatoirement à deux mains. La hache est polyvalente, l’épée est plus puissante face à des adversaires en armure légère, tandis que
le marteau permet d’assommer et de tenir en respect les combattants avec une armure imposante.
A présent, abordons le sujet des armures. Vous pouvez remarquer que la plupart d’entre elles comportent un malus
d’utilisation. De plus, l’armure de cuir clouté a disparu. Encore une fois, tout ceci est dans un souci de réalisme, et est censé
inciter les joueurs à mieux réfléchir sur leurs armures. Porter une armure permet de réduire les dégâts, mais on y perd de la
mobilité, et donc de l’Initiative : il est fort possible que le port d’une armure lourde vous fasse agir en dernier à chaque round.
C’est un risque à courir.
L’armure de cuir bouilli est très épaisse, d’où son non-cumul avec d’autres armures. Elle est assez chère, sans que ce soit excessif, mais n’impose aucun malus d’Agilité. Parfaite pour les personnages qui agissent dans l’ombre.
L’armure matelassée est constituée de tissu enserrant un rembourrage, comme de la laine ou du crin. C’est la protection la
moins chère, elle était portée par la piétaille et les pauvres lors des guerres au moyen-âge.

La maille cousue protège un peu mieux : c’est une armure matelassée sur laquelle ont été cousus des anneaux de métal. Je le
sais, ça peut paraître étrange, mais ça permet d’avoir une protection légère qui conserve une certaine mobilité.
La maille est très souple, constituée d’anneaux de métal imbriqués les uns dans les autres, mais c’est son poids qui handicape
le porteur. Avoir des manches longues est aussi très pénible et gênant, j’en ai fait l’expérience.
L’armure de plaques est composée de plaques d’acier rivetées sur du tissu ou du cuir. Elle est donc relativement souple, tout
en protégeant bien son porteur. Mais elle n’est cumulable qu’avec de la maille, en portant la maille en dessous.
L’armure d’écailles est constituée de petites plaques épaisses en acier rivetées sur un support en tissu ou en cuir, de façon à ce
que les écailles du dessus recouvrent celles du dessous. Cette armure est assez souple et protège encore mieux que la maille,
mais elle pèse bien plus lourd de par sa densité.
Enfin, l’armure de plates est faite d’épaisses plaques d’acier maintenues contre le corps par des attaches. Cumulée avec de la
maille et une armure matelassée, c’est la meilleure armure avec 5 points de protection. Il est possible d’obtenir le même résultat avec de la maille cousue et une armure d’écailles, mais les malus sont plus importants et toutes les zones ne peuvent
pas être couvertes. Toutefois, cet ensemble est moins couteux et donc plus accessible.
Continuons avec le combat. Je fais deux modifications majeures : Je supprime les points de blessure et j’introduis un nouveau calcul de la CC. Explications :
Dans les combats que je fais avec mes camarades d’entraînement, il nous arrive de toucher l’autre sans lui porter un coup
mortel. On fait alors semblant d’avoir mal, on simule une incapacité avec une jambe ou un bras, etc… Supprimer les points de
blessure est un choix tout à fait logique : En effet, l’endurance est comptée deux fois ! Une fois dans la caractéristique
d’Endurance (capacité de résister aux coups), et une fois dans les points de Blessure (capacité à supporter les coups). De plus,
pourquoi pourrait-on supporter plusieurs coups sans aucun effet ? Et enfin, voici le problème ultime des points de Blessure :
au-delà du réalisme, c’est la jouabilité qui pâtit de ce système de points de vie. Ce système n’est pas amusant, car il implique
une effroyable lenteur dans les combats.
Imaginons deux combattants avec 30 en CC. Il suffit d’un rapide calcul : chacun a 30 % de chances de toucher l’autre ou de
parer. Ce qui fait 0.3*0.7 = 0.21 chances de toucher à chaque round. Ce qui fait 1/0.21 = 5 rounds en moyenne pour toucher.
Un coup moyen fera 5.5 de dégâts sur un d10 (arrondissons à 6), ajoutons Coups Puissants pour être gentils, cela fait 7. Admettons que l’adversaire porte une armure légère, et que les BF/BE soit égaux : on arrive à 6 de dégâts tous les 5 rounds. Pour
tuer un adversaire à 12 B, il faudra donc 15 rounds : 10 pour qu’il tombe à 0, et encore 5 pour lui porter le coup fatal.
Supprimer les Blessures permet d’utiliser directement les coups critiques. Pour cela, utilisez les tables à la fin du document :
elles sont bien plus équilibrées pour cet usage, étudiées pour, et ont été calculées et testées. J’ai même fait des calculs de
probabilités avec le tableau des critiques, c’est dire comme j’ai poussé loin la chose. Ces coups critiques permettent un réalisme accru, des combats qui durent moins longtemps, et surtout de les rendre plus amusants. Un coup bien placé peut changer la donne et vous permettre de vaincre. Reprenons l’exemple précédent : Nous avions convenu que les dégâts s’élevaient à
6. Un coup de 6, en observant le tableau, permet en moyenne d’obtenir un résultat critique de 5 (mais qui peut varier en fait
de 3 à 9). Cet effet de 5 stipule ceci : L’arme tranche une partie du muscle de la cuisse mais n’atteint pas l’artère. Test d’E -10
% pour ne pas tomber et perdre ce round et le suivant à hurler de douleur. -10 % CC pour 1d10/2 rounds. Recevoir ce coup va
donc bouleverser le cours du combat : un round perdu peut signer une défaite, d’autant plus que celui qui reçoit le coup subira
des malus en CC. Ainsi, il devient plus important de se protéger, d’être prudent, et il n’est plus possible de jouer au tank.
Toutefois, ce système ne me satisfaisait pas pleinement. En effet, le combat finit plus vite, mais il faut toujours 5 rounds à nos
deux amis pour se toucher. Ainsi, je vous propose un calcul de la CC qui se fait en fonction de la CC du combattant. Je me suis
battu contre plusieurs adversaires différents pendant mes combats, et j’ai remarqué qu’on ne combat pas aussi bien contre
quelqu’un d’expérimenté ou contre un débutant. Si on parvient à latter un débutant, ce n’est pas parce qu’il pare mal, mais parce
qu’il est plus facile à atteindre. Ainsi, combattre un adversaire moins fort devrait logiquement augmenter notre propre CC. De
plus, prenons deux exemples extrêmes : deux combattants avec 5 en CC, et deux autres avec 95 en CC. Ceux avec 5 ne se toucheront pratiquement jamais : pourtant, étant aussi nuls l’un que l’autre, il devrait être plus facile de trouver une faille. En revanche,
deux types avec 95 se toucheront sans arrêt : illogique, puisqu’ils sont censés être très forts tous deux, et donc se défendre très
bien ! Voici donc le calcul de la nouvelle CC : CC actuelle + (50 – CC adverse) = CC pour le combat contre cet individu. Ainsi, les
deux types avec 5 en CC auront tous deux 5 + (50 – 5) = 50. De même, ceux avec 95 auront 95 + (50 – 95) = 50.
Combattre un adversaire aussi fort que soi permet donc d’obtenir 50 en CC. Reprenons nos deux combattants avec 30 CC : ils
auront 50 CC pour attaquer et parer. Ce qui fait 0.5*0.5 = 0.25. Il ne faudra plus que 4 rounds pour toucher. La différence est ici

peu flagrante, mais refaites donc le calcul avec des combattants ayant des CC différentes, comme 45 CC pour l’attaquant et 30
pour le défenseur. J’abrège les calculs, mais :



Avec le système à points de blessures, il faudra 3 rounds pour toucher et 9 pour tuer.
Avec mon système complet, il faudra 2 rounds en moyenne pour toucher, et induire un effet qui va encore accélérer le
combat, qui peut alors se terminer en 3 ou 4 rounds.

Le combat en devient plus amusant car plus intense, plus riche en surprises, et moins pénible pour le MJ qui lance tous les dés.
Je vous conseille également le combat narratif, qui consiste à décrire ses actions de façon originale plutôt que de simplement
dire : « J’attaque », « Je frappe », « Je pare ». Vous trouverez plus d’infos dans le Liber Fanatica 2 (si je me souviens bien).

Passons aux effets secondaires dus à la parade. Vous n’avez jamais été surpris que le troll abattant sa masse sur un halfling ne
puisse pas le déséquilibrer, car celui-ci portait un bouclier ? A présent, ce geste aura des conséquences : parer le gourdin d’un
géant peut vous faire reculer de plusieurs mètres et vous faire tomber ; cela peut détruire votre arme de parade ; enfin, cela
peut vous balancer dans le vide si vous êtes au bord du précipice…
Le nouveau système de localisation permet de rendre les zones comme la tête plus sensibles, mais plus difficile à atteindre.
Ainsi, un jet de CC bien réussi sera valorisant. Un 03 ne sera plus l’égal d’un 37, bien au contraire.
Le rééquilibrage des forces et endurances permet d’empêcher les dérives, par exemple un nain aussi fort qu’un dragon. Il suffit
de multiplier les forces et endurances des monstres par deux, et d’ajouter 3 aux BF et BE des races jouables.
Les règles d’infection des blessures sont aussi là pour rendre les combats plus dangereux et plus réalistes : une blessure peut
tuer après coup, si elle s’infecte. Et même sans tuer, une infection peut être très handicapante.
Les règles dans IV – Divers sont de petites modifications que j’applique, de petits points de règles qui ajoutent des détails et de
la vie au jeu.
Les tables de prix que je vous propose ne sont pas dans le réalisme historique. Au moyen-âge, une armure est bien plus chère.
Mais nous sommes dans Warhammer. Soyons cohérents deux minutes : le Chaos attaque sans arrêt, les armes devraient pouvoir être assez accessibles (sans être données non plus). De plus, les nains ont apporté leur technologie et leur ingénierie. Il est
donc tout à fait réaliste que les prix ne soient pas très élevés. Par contre, faites bien attention aux récompenses à donner aux
PJs : avec ces tables, c’est la pistole d’argent qui est au centre du commerce, et plus la couronne. J’ai d’ailleurs toujours trouvé
ça bizarre : il y a des récits dans les livres et suppléments dans lesquels des hommes sont prêts à tout pour une pistole ou
deux, mais une chaussette (« Chaussette ! ») vaut autant, voire plus. Ces tables sont donc équilibrées le plus possible, je suis
parti sur le prix d’un repas et de la nourriture pour établir différents prix de services, puis estimer des revenus (qui correspondaient aux tables données par Le Ratier Bretonnien sur son blog).
Enfin, les coups critiques sont entièrement de moi, à un ou deux mots près. Ils sont tout à fait calculés et équilibrés, et
s’accordent à merveille avec le système de combat que je vous propose.

J’espère que vous apprécierez ce système de règles, que j’ai concocté pour mes attentes et celles de mon groupe, mais qui
peut s’adapter, je pense, à un grand nombre. Je vous souhaite un bon jeu et de belles parties !
Et pour reprendre le Liber Fanatica :
En route, et faites vivre l’histoire.

Herr Trotski,
33 Brauzeit, 2512

I – Armes
Arme

Groupe Dégâts
Hache/Pic
BF
Masse/Marteau
BF
Epée
BF
Rapière/Sabre
Escrime
BF-1
Fleuret
Escrime
BF-2
Morgenstern
Fléaux
BF
Fléau d’armes*
Fléaux
BF+2
Epée longue/Espadon*
Lourdes
BF+2
Hache de bataille longue*
Lourdes
BF+2
Marteau de guerre long*
Lourdes
BF+2
Epée batarde
BF+1
Fauchon/Messer/Braquemart
BF
Epée courte/Glaive
BF
Dague
BF-2
Poignard/Couteau
BF-2
Gourdin
BF-1
Gourdin clouté
BF
Bâton*
BF-2
Mains nues
BF-4
Coup de poing
BF-3
Lance*
BF
Pique
BF-1
Demi-lance
Cavalerie
BF
Lance de cavalerie*
Cavalerie BF+1
Hallebarde/Armes d’Hast*

Lourdes

-

Hache d’armes*

Lourdes

-

-

BF-2

Parade
Parade
Parade

BF-2
BF-2
BF-3

Bouclier
Rondache
Main gauche
Brise-lame
* = Arme à deux mains

Règles sur les armes :
Attribuer des malus aux armes longues
dans les espaces réduits (-10 % CC), des
bonus d’attaque aux armes longues contre
les armes courtes (+10 % CC) et des malus
d’attaque aux armes courtes contre les
armes longues (-10 % CC).
Il faut posséder le talent Maîtrise (Groupe
de l’arme) pour l’utiliser, sinon CC~CT/2 et
Temps de Rechargement*2.
Arcs : Il faut avoir un BF égal à celui d’un
Arc pour l’utiliser, et supérieur pour Viser.
Notes sur la qualité :
Une arme de qualité exceptionnelle confère +5 % CC/CT.
Une arme de qualité médiocre donne -5 %
CC/CT, même chose pour les munitions de
cette qualité. Des munitions de qualité
exceptionnelle donnent +1 dégâts.
















Attributs
Lente
Lente – Assommante – Contondante
Vicelarde – Défensive
Rapide – Défensive – Précise – Vicelarde
Rapide – Précise – Perforante – Offensive
Lente – Peu fiable – Epuisante – Percutante – Offensive
Lente – Peu fiable – Epuisante – Percutante – Offensive
Défensive – Vicelarde
Lente
Lente – Assommante – Contondante
Vicelarde – A une main : Lente – A deux mains : Rapide – Défensive
Vicelarde
Vicelarde – Rapide
Perforante – Offensive – Rapide – Précise
Vicelarde – Offensive – Rapide
Lente – Contondante – Assommante
Lente – Vicelarde
Rapide – Assommante – Défensive – Double – Equilibrée
Assommante – Equilibrée – Rapide
Rapide – Equilibrée – (Contondante – Assommante) OU (Vicelarde)
Rapide – Offensive – Longue – Précise
Rapide – Offensive – Précise – Utilisable comme bâton
Rapide – Epuisante – Percutante – Offensive – Précise
Rapide – Epuisante – Percutante – Offensive – Longue – Précise
Spéciale (Combine la Hache de bataille longue et la Pique).
On peut utiliser au choix une des deux armes lors de chaque attaque.
Spéciale (Combine Hache de bataille longue et Marteau de guerre long).
Défensive – Malus de -10 % CT pour tirer sur quelqu’un possédant un
bouclier.
Défensive – Assommante – Equilibrée
Défensive – Equilibrée
Défensive – Equilibrée
Attributs :
Lente/Rapide : +10/-10 à l’adversaire pour parer/esquiver l’arme.
Perforante : Ignore 1 PA, mais cause 3 dégâts de moins aux boucliers.
Assommante : +10 en F pour infliger un coup assommant.
Défensive/Offensive : +10/-10 pour parer avec cette arme.
Précise : +1 à l’effet critique.
Equilibrée : Pas de malus si attaque de la main gauche avec cette arme.
Vicelarde : +1 dégâts aux adversaires sans armures ou avec armure légère ; -1 dégâts aux adversaires avec armure moyenne ou lourde.
Contondante : +1 dégâts aux adversaires avec armure moyenne ou
lourde ; -1 dégâts aux adversaires avec armure légère ou sans armure.
Peu fiable : Sur 96-98, l’arme se coince (se plante dans le bouclier, dans
le sol, etc…) avec tout ce que ça implique. Sur 99-00, l’utilisateur se
prend son arme et s’inflige des dégâts normaux.
Percutante : Lancer 2d10, le meilleur des deux correspond aux dégâts.
Epuisante : L’attribut Percutante ne fonctionne que pendant BE/2 rounds
de combat (arrondi à l’inférieur).
Double : S’utilise comme si l’arme était tenue 1 fois dans chaque main,
et confère donc 1 A supplémentaire avec les attributs de l’arme.
Longue : Utilisable à une plus grande portée (voir coups spéciaux).

Arme à distance
Arc simple*
Arc court*
Arc long*
Arc Elfique*
Arbalète à levier*
Arbalète à répétition*
Arbalète de poing
Arquebuse*
Arquebuse à répétition*
Pistolet

Portée
24/48
18/36
30/60
36/72
30/60
16/32
8/16
24/48

Groupe
Arcs
Arcs
Arcs longs
Arcs longs
Arbalètes
Arbalètes
Arbalètes
A poudre

24/48

Mécanique

0 / 6 Rounds

7

8/16

A poudre

2 Rounds

7

Pistolet à répétition

8/16

Mécanique

0 / 6 Rounds

7

Fusil du Hochland*
Tromblon*
Etoile de jet
Dague de jet
Hache de lancer
Bolas
Filet
Fouet
Lasso*

48/96
32/6/12
6/12
8/8/16
4/8
6/8/-

2 Rounds
3 Rounds
-

8
5
BF-2
BF-2
BF-1
BF-4
-

Fronde

16/32

½ Round

5

Fustibale*

24/48

Mécanique
A poudre
De jet
De jet
De jet
Paralysante
Paralysante
Paralysante
Paralysante
Lancepierre
Lancepierre

1 Round

7

Javelot

12/24

-

-

BF-1

Inutilisable au corps à corps

Lance

8/-

-

-

BF

-

-

-

-

-

-

-

-

-

-

Perforante

-

-

-

-

Vicelarde

-

-

-

-

Risques d’infection +10

Flèches incendiaires

-

-

-

-

Flèches/Carreaux
matras

-

-

-

-

Munitions :
Flèches/Carreaux
classiques
Flèches/Carreaux
bodkin
Flèches/Carreaux
de chasse
Flèches/Carreaux
barbelés

Rechargement Dégâts
½ Round
6
½ Round
5
½ Round
6
½ Round
6
1 Round
7
0 / 4 Rounds
5
1 Round
5
2 Rounds
7

Notes sur la qualité :
Une arme « Expérimentale » de qualité exceptionnelle
devient « Peu fiable ». Une arme « Peu fiable » de qualité
exceptionnelle est moins dangereuse :
 Sur 98-99 : L’arme s’enraye.
 Sur 00 : L’arme explose, infligeant 11 de dégâts à la
tête.
Une arme « Peu Fiable » de qualité médiocre devient
« Expérimentale ». Une arme « Expérimentale » de qualité médiocre est plus dangereuse :
 Sur 91-96 : L’arme s’enraye.
 Sur 97-00 : L’arme explose, infligeant 15 de dégâts à
la tête.









Attributs
Utilisable à cheval
Perforante
Perforant - Utilisable à cheval
Contient 6 carreaux
Précise
Perforante – Percutante – Peu fiable
Perforante – Percutante – Expérimentale
– 6 balles
Perforante – Percutante – Peu fiable
Perforante – Percutante – Expérimentale
– 6 balles
Perforante – Percutante – Expérimentale
Mitraille – Peu fiable - Vicelarde
Vicelarde
Précise
Immobilisante – Léger
Immobilisante – Piégeant
Immobilisante
Immobilisante– Léger
Assommante –
Permet d’effectuer un tir assommant.
Assommante –
Permet d’effectuer un tir assommant.

1 chance sur 2 d’enflammer le matériau visé à
chaque round, pendant 2 rounds.
Assommant –
Permet d’effectuer un tir assommant.

Attributs :
Peu fiable : Sur 96-98, l’arme s’enraye. Sur 99-00, l’arme
explose, et inflige 11 de dégâts à la tête (auxquels soustraire l’armure et l’endurance, ainsi que ci-dessous).
Expérimentale : Sur 96-98, l’arme s’enraye. Sur 99-00,
l’arme explose, et inflige 15 de dégâts à la tête.
Immobilisante : Si le test de CT est réussi, l’adversaire est
capturé. Il perd ce round. Quand vient son tour, il peut se
libérer avec un test d’Ag réussi (difficulté du test modifiée de +/- 5 en fonction de la qualité de l’arme utilisée).
Mitraille : Pas de jet de CT pour toucher : l’arme touche
automatiquement tous ceux qui se trouvent devant.
Piégeant/Léger : -10/+10 à l’adversaire pour se libérer.

II – Armures
Elément
Cuir Bouilli
Cervelière
Calotte
Plastron
Gantelet
Canon d’avant
bras
Brassard
d’arrière bras
Spallières
Cuissots
Genouillères
Grèves
Bottes
Matelassée
Cale de tête
Gilet
Chemise
Chemise courte
Robe
Gambison
Gambison court
Jambières
Guêtres
Brassards
Maille Cousue
Casque
Gilet
Robe
Chemise
Chemise courte
Cotte
Broigne
Jambières
Guêtres
Brassards
Maille
Camail
Gilet
Robe
Chemise
Chemise courte
Haubert
Cotte
Jambières
Plaques
Brigandine
Robe
Cotte
Chemise courte

T

Zones
C B J

PA

Classe

Temps de
port par jour

Effets

½
X
X
¼
¼

-10 % en perception auditive si la tête est couverte en
entier.
1

¼

Légère

24h

Non cumulable avec d’autres armures.
Inconvénients : Aucun.

¼
¼
¼
¼
¼
X
X
X
X
X
X
X

X
½
½
X ½
½ ½
X
½
½

1

Légère

24h

Cumulable avec Maille, Ecailles et Plates.
Inconvénients : Une armure matelassée tient très chaud.
Mais alors très très chaud. C’est bénéfique en Hiver, plus
problématique en Eté…

X
X
X
X
X
X
X

½
X
½
½ ½
X ½
X
½
½

2

Légère

3*BE h

-10 % en perception auditive si la tête est couverte en
entier.
-5 Ag si les jambes sont couvertes en entier.
-5 CC/CT si les bras sont couverts en entier.
-5 Ag si le corps est couvert.
Cumulable avec Ecailles et Plates.
Inconvénients : Identiques aux armures matelassées.
-5 Ag si les jambes sont couvertes en entier.
-5 CC/CT si les bras sont couverts en entier.
-5 Ag si le corps est couvert.

X
X
X
X
X
X
X

-10 % en perception auditive si la tête est couverte en
entier.
-5 Ag si les jambes sont couvertes en entier.
-5 CC/CT si les bras sont couverts en entier.
-5 Ag si le corps est couvert.

½
X
½
X ½
½ ½
X

X
X
½
X ½ ½
X ½

2

Moyenne

2*BE h

Cumulable avec Matelassé, Plaques et Plates.
Inconvénients : Si non-cumulé avec Plaques ou Matelassé,
temps = BE h. Au soleil, le métal chauffe fortement, rajoutant à l’effet du gambison. Couvrir le métal permet
d’éviter cela.
-5 Ag si le corps est couvert.

2

Moyenne

24 h

Cumulable avec Maille.
Inconvénients : Tient relativement chaud, mais tout de
même moins qu’une armure matelassée type Gambison.

Le temps de port exprimé en « BE » concerne le BE avant la modification de +3.
Notes de rédaction et abréviations : °R = Degrés de réussite ; °E = Degrés d’échec.

Ecailles
Gilet
Robe
Cotte
Chemise
Chemise courte
Manteau
Jambières
Plates
Salade
Heaume
Plastron
Gantelet
Canon d’avant
bras
Brassard
d’arrière bras
Spallières
Cuissots
Genouillères
Grèves
Bottes

X
X
X
X
X
X

½
½ ½
X
½
X ½
X

3

Lourde

2*BE h

-10 Ag si les jambes sont couvertes en entier.
-10 CC/CT si les bras sont couverts en entier.
-10 Ag si le corps est couvert.
Cumulable avec Matelassé et Maille cousue.
Inconvénients : Identiques aux armures de maille.

½
X
X
¼
¼

-10 % en perception auditive si la tête est couverte en entier.
-10 Ag si le corps est couvert.
2

¼

Lourde

3*BE h

Cumulable avec Matelassé, Maille cousue, Maille.
Inconvénients : Aucun.

¼
¼
¼
¼
¼

Utilisation des chiffres : Une protection d’1/4 indique que seul 1/4 de la zone est protégé, de même pour les autres valeurs. Il
est possible de cumuler quatre quarts pour faire 1, et deux demi également. Si 1/4 de la zone est protégé et qu’un coup
touche cette zone, on jette un d100. Entre 01 et 25, le coup touche l’armure ; entre 26 et 00, le coup ne touche pas l’armure :
ne pas la compter dans le calcul des dégâts. On procède de la même façon si l’armure ne protège que la moitié ou les trois
quarts de la zone, en changeant simplement les chiffres.
Usure des armures : A chaque coup reçu qui touche une armure, ladite armure perd 1 PV sur la zone touchée (seule l’armure
portée par-dessus les autres est touchée, dans le cas ou le personnage porte plusieurs couches d’armure). Une armure de
qualité médiocre possède 5 PV, de qualité normale : 10 PV, de qualité bonne : 15 PV, et de qualité exceptionnelle : 20 PV. Dès
qu’une armure perd tous ses PV sur une zone, elle perd 1 PA (réparable avec un test de Métier adéquat) sur cette zone.
Résumé des combinaisons possibles :

Armure

Cuir
Maille
Matelassé
Plaques Mailles Ecailles Plates
Bouilli
cousue

Cuir
Bouilli
Matelassé
Maille
cousue
Plaques
Mailles
Ecailles
Plates
La CC modifiée est utilisée pour ce combat seulement, et uniquement contre
cet adversaire. Si l’adversaire change, il faut recalculer une nouvelle CC. En
revanche, tous les modificateurs liés aux armes, aux postures, aux situations
tactiques, etc… s’ajoutent après le calcul de cette CC. Seuls les modificateurs
apportés par un coup critique nécessitent de changer la CC de base et de
recalculer la CC de combat.

Détermination de la CC pour le combat :
Les chances de toucher dépendent de la
CC du joueur ET de la CC de son adversaire. Pour cela, ajouter à la CC de
chaque combattant (50 - CCadverse). Si un
effet critique affecte la CC, réduire la CC
de la victime et augmenter la CC de
l’attaquant d’autant. Exemple :

Guerrier
Albert
Rudolf

CCbase
40
30

CCcombat
40 + (50 – 30) = 60
30 + (50 – 40) = 40

Si Albert perd 10 % CC à cause d’un critique, on recalcule les valeurs :

Guerrier
Albert
Rudolf

CCbase
30
30

CCcombat
30 + (50 – 30) = 50
30 + (50 – 30) = 50

Note : Pour aller plus vite, on peut directement ajouter 10 CC à Rudolf et retirer
10 CC à Albert, cela revient au même.

III – Combat
A chaque nouveau round, il faut choisir une posture, puis choisir entre réaliser des actions de combat ou réaliser des actions
hors-combat. Il est possible d’accomplir les deux types d’actions dans le même round quand la logique le permet, par exemple
pour Recharger/Tirer. Par exemple, avec 2A, le rechargement peut prendre ½ round (1A), puis le tir prend l’A restante.
On peut réaliser autant d’actions de combat par round que le nombre A du profil de la feuille de personnage, mais on ne peut
réaliser qu’une seule action de chaque sorte par round, sauf contre-indication (on ne peut pas préparer deux parades).
On peut réaliser autant d’actions hors-combat par round que la logique le permet, au gré du MJ. Chacune de ses actions prend
le round entier à être accomplie, sauf si le contraire est précisé.
On ne peut réaliser qu’une seule action gratuite de chaque sorte par round (on ne peut pas Se Positionner deux fois).
Utiliser une action hors-combat d’½ round, puis une action de combat est un cas particulier. Si le joueur possède 2 A, il lui
reste 1 A après l’action hors-combat. Autrement, il lui reste 0.5 ou 1.5 A… Dans ce cas, le MJ peut autoriser ou pas le joueur à
utiliser 1 A complète alors qu’il ne lui en reste que 0.5, mais cela lui retire 0.5 A du round suivant. Il faudra attendre que le
joueur utilise une autre action hors-combat d’½ round pour retrouver des valeurs normales d’A.



Actions de combat :
Attaquer: Test de CC/CT. Utilisable plusieurs fois de suite, mais -10 % CC
par attaque supplémentaire et +10 % pour parer/esquiver ces attaques.
Feinter : Test de CC opposé. Si la feinte est réussie, l’attaque suivante est
impossible à parer/esquiver si elle est réussie.
Charger : Prend toutes les A. Pas de posture possible avec cette action.
Bonus : +10 CC et BF+1 pour l’attaque. Cible entre M et M*3 mètres.
Viser : +10 CC/CT OU +1 dégâts à l’attaque suivante. Réussie, cette attaque impose un malus de -10 % à l’adversaire pour la parer/l’esquiver
(sauf si c’est le +1 dégâts qui a été choisi).
Manœuvrer : Test de CC opposé. Si réussi, on peut déplacer l’ennemi de
°R X 2 mètres. L’ennemi doit faire un test d’Ag +20 % pour ne pas tomber.
Préparer une parade : Cette action doit être annoncée au début du
round. On peut utiliser n’importe qu’elle A pour parer, mais on préfèrera
souvent utiliser celle de l’arme tenue en main gauche. Même si la parade
n’a pas servi, l’A est perdue et ne peut pas être utilisée pour attaquer.
Actions spéciales : Elles nécessitent des armes spécifiques. Voir plus bas.





Actions gratuites :
Se positionner : permet de se déplacer de 2 mètres.
Esquiver (si on ne possède pas Esquive, Ag/2) : Test d’Ag.
Autres (crier, lâcher un objet, etc…).









Combat à une ou deux armes :
Arme tenue dans la main gauche :
 Couteau, dague, pistolet, arbalète de poing, armes possédant l’attribut « arme de parade » : pas de malus de port.
 Autres que précédentes, bouclier, armes du groupe
« lourdes », fléau d’armes : -5 Ag à cause de la gêne.
 Arme non-équilibrée : -20 CC pour attaquer avec.
 Ambidextre : Aucun malus pour le port d’armes à une main.
̶ Utiliser deux armes ajoute 1 A utilisable uniquement pour une
attaque, une feinte ou une parade (impossible d’utiliser cette A
supplémentaire pour faire une visée, par exemple).
̶ Utiliser une seule arme donne +5 F si l’arme est une arme à
une main et qu’elle est tenue des deux mains.

1 round
= 6 secs.










10 rounds
= 1 min.
Valeur
indicative










Actions hors-combat :
Se déplacer :
o M X 3 mètres en marchant vite.
o M X 6 mètres en courant.
o M mètres furtivement.
Distances divisibles par deux, elles
prennent alors ½ round à parcourir.
Prendre un objet :
o Un round pour encorder un arc,
équiper un bouclier, une arme à
deux mains.
o Arme une main : ½ round.
o Gratuit pour une dague ou un
couteau à portée de main.
Lancer un sort : Il est possible de lancer deux sorts d’½ round, ou un sort
d’un round complet.
Utiliser une compétence : Variable.
Recharger une arme : Il est possible
de tirer après cette action s’il reste un
demi-round, mais la moitié d’une action de combat est consommée pour
le round suivant.
Se relever : ½ round.
Saut/désengagement : Voir plus bas.

Postures de combat :
Posture suicidaire : +20 en attaque OU +2 dégâts/
pas de parade ni d’esquive
Posture défensive : + 20 en parade / pas d'attaque.
Posture téméraire : +10 en attaque / -10 en parade.
Posture prudente : +10 en parade / -10 en attaque.
Posture normale : Aucun modificateur

A chaque nouveau round, on peut changer de posture
ou conserver celle en cours.

Selon la posture, seules certaines actions sont réalisables :
 Défensive : Parer, Esquiver, Se positionner.
 Prudente/Téméraire : Attaquer, Manœuvrer, Feinter, Viser,
Parer, Esquiver, Se positionner.
 Suicidaire : Attaque, Manœuvre, Feinte, Visée, Se positionner.
Les actions spéciales ne sont pas dans cette liste : elles sont utilisables avec toutes les postures.
Modificateur
CC - Ag
-10 %
Parer/Esquiver dans la boue, sous une pluie forte.
-20 %

Parer/Esquiver en étant à terre.

-30 %

Parer/Esquiver enfoncé dans une épaisse couche
de neige.

Parades réactives :
Il est possible de parer si l’on n’a pas préparé de parade et qu’il
ne reste aucune A pour ce round, mais aucune parade n’a du
être accomplie durant ce round. Cette action consomme 1 A du
round suivant. La parade réactive subit un malus de -10 % CC.

Initiative :
Pour déterminer l’Initiative, chaque combattant lance
3d20 et les ajoute à sa valeur d’Agilité.
Exemple : Ag = 56, 3d20 = 24, A = 2
I = 56 + 24 = 80
Puis l’I de chaque action est calculée selon le nombre
d’A du combattant. Pour ce calcul, l’A apportée par le
port d’une deuxième arme ne compte pas. Chaque A
possède sa valeur d’Initiative.
A1 = 80
A2 = 80 / 2 = 40
Ensuite, les valeurs d’initiative sont classées par ordre
décroissant. Dans le cas de groupes de combattants,
gérer chaque groupe un par un et ne prendre en
compte l’Initiative qu’à l’intérieur de ces groupes.

Effets secondaires dus à la parade :
A chaque parade réussie, on lance 1d100 auquel on ajoute (F attaquant – F
défenseur + dégâts de l’attaque). Les dégâts de l’attaque sont calculés
avec le BE de l’arme de parade, pas le BE du joueur.

Portée des armes à distance :
Arme (portée min ; portée max). Distances :
 ≤ min/2 : +10 CT
 ≤ min : +0 CT
 ≤ 3max/4 : -10 CT, - 1 dégâts
 ≤ max : -20 CT, - 1 dégâts
 > max : -30 CT, visée obligatoire, -2 dégâts

On consulte ensuite le tableau suivant pour connaître l’effet :
Résultat du
D100
01-60

Tout se passe bien

61-70

Le défenseur recule d’1 mètre. Test Ag +30% pour ne pas tomber.

71-80

Le défenseur recule de 2 mètre. Test Ag +10% pour ne pas tomber.

81-90

Le défenseur perd l’équilibre et tombe après avoir reculé de plusieurs mètres.

91-100
101-110
111-999+

Effets de parade

Le défenseur perd l’équilibre, recule de plusieurs mètres, et tombe. Il se blesse à hauteur d’1/4 des dégâts de
l’attaque (arrondis au supérieur) qu’il aurait reçus si sa parade avait raté.
Le défenseur est projeté en arrière de plusieurs mètres et tombe. Il se blesse à hauteur d’1/2 des dégâts de
l’attaque (arrondis au supérieur) qu’il aurait reçus si sa parade avait raté.
L’arme de parade éclate en morceaux, le défenseur est propulsé en arrière sur plusieurs mètres et tombe.
Il subit tous les dégâts de l’attaque qu’il aurait reçus si sa parade avait raté.

Localisation des touches et calcul des dégâts :
Dégâts : 1d10 + BF – BE – Armure. La zone touchée par le coup dépend des °R de l’attaque. Posséder
Coups précis ajoute 1 aux °R. On peut choisir la zone à toucher, il suffit d’obtenir suffisamment de °R.
Actions spéciales :

Coup perforant : Calculer la localisation sans le malus de-10*K % CC.

°R Zone touchée
0-1
Jambes
2
Bras
3
Corps
4+
Tête

Ces actions demandent certaines armes précises pour être utilisées. Elles fonctionnent comme une attaque normale.
Coup perforant
Armes : Fleuret, Dague, Lances, Epées.
Effet : Permet de réaliser une attaque à -10*K % CC. Si
cette attaque est réussie, elle ignore K PA (+1 si perforant).

Armes : Fléaux.
Effet : Permet de réaliser une attaque à -10 % CC. Si cette
attaque est réussie, -20 % CC au défenseur pour la parer.

Allonge surprise
Armes : Epée batarde.
Effet : Permet de réaliser une attaque à +10 % CC, mais
inflige un malus de -10 % CC en parade pour ce round.

Frappe de bouclier
Armes : Bouclier, Rondache.
Effet : Test de CC opposé à +10 %, avec l’A du bouclier. Si réussi, l’attaque suivante est plus ardue à parer (-20 % CC/Ag).

Par-dessus les défenses

Coup assommant
Armes : Toutes au corps à corps, fronde ou matras à distance.
Effet : Nécessite "Coups assommants" au corps à corps. Si
l’attaque est réussie, il faut réaliser un test de F opposé à l’E
de l’adversaire. A distance, F = (BF de l’arme – 3)*10.
 +5 % E par point d’armure sur la zone touchée.
 +10 % F si l’attaquant possède une arme assommante.
Réussir implique que l’adversaire est sonné pour 1d10 rounds.

Empalement
Armes : Lances longues.
Effet : Si un adversaire charge, l’empalement permet de
réaliser une attaque gratuite au moment ou l’adversaire
arrive à portée. Si cette attaque est réussie, la charge est
stoppée et l’adversaire tenu à distance.
Posture du piquier
Armes : Lance de cavalerie.
Effet : Si un adversaire charge, cette action permet de réaliser une attaque gratuite à +10 % CC au moment ou il arrive à portée. Si cette attaque est réussie, la charge est
stoppée et l’adversaire tenu à distance. Le piquier doit
rester immobile tant qu’il reste dans cette posture.

Désarmement
Armes : Toutes.
Effet : Nécessite "Désarmement". Permet de réaliser une attaque pour désarmer l’adversaire. Si l’attaque est réussie, il
faut réussir un test d’Ag opposé. Réussir désarme l’adversaire.
Rééquilibrage des forces et endurances :

Multiplier les valeurs de F et E des monstres par deux pour obtenir les nouveaux BF et BE.
Ajouter +3 BF, BE et BA à chaque personnage. Ceci permet d’équilibrer les rapports de
force entre les monstres et les personnages. Voici la table des BF selon ce système :
Modifications de talents et compétences :
Baratin, Escamotage, Esquive, Filature, Orientation, Pistage,
Torture, deviennent des compétences de base.
Certains talent sont modifiés, voici leurs nouveaux effets :

Dur à cuire
Effet : -1 à l’effet critique.

Combattant virevoltant
Effet : Permet de calculer les dégâts d’une attaque avec le BA (Bonus
d’Agilité) plutôt qu’avec le BF, mais uniquement avec les armes suivantes : Epée courte, Fleuret, Rapière, Bâton.
Tireur d’élite
Effet : +5 % CT. Modifier le profil de base en conséquence.



7
8
9
10

Sur ses gardes
Effet : Permet d’ajouter 1d20 à son Initiative.

Tir/Coups précis
Effet : +1 pour la localisation.

01-10
11-20
21-30
31-40
41-50
51-60
61-70
71-80
81-90
91-00

Valeur critique = dégâts reçus
+1 +2 +3 +4 +5 +6 +7 +8 +9 +10 +++
5 5 6 6 7 9 11 14 15 15 +1
4 5 5 6 6 8 10 13 14 14 +1
4 4 5 5 6 7 9 12 15 15 +1
3 4 4 5 5 6 8 11 14 14 +1
3 3 4 4 5 6 7 10 13 15 +1
2 3 3 4 4 5 6 9 12 14 +1
2 2 3 3 4 5 6 8 11 15 +1
1 2 2 3 3 4 5 7 10 14 +1
1 1 2 2 3 4 5 6 9 13 +1
1 1 1 2 2 3 4 6 8 12 +1

Robuste
Effet : Annule -5 % Ag et -5
% CC liés au port d’armure.

Pour chaque coup reçu, on lance un d100 et on croise les
deux valeurs dans le tableau pour connaître l’effet critique. On consulte ensuite les tables de critiques pour
savoir ce qui arrive. Les effets sont cumulables.
Contre les mages :
 Ajouter des malus de FM (optionnel).
 Ajouter un dé du chaos pour chaque critique subi.
 Un mage ne peut plus lancer de sort si un coup critique affecte sa voix !

Mort subite :
On peut utiliser les règles de mort subite dans le cas d’un gros groupe
de combattants. On n’utilisera ces règles que pour les PNJs. Quand un
PNJ reçoit un coup, il subit un effet selon la gravité du critique :
De 1 à 7 : Le PNJ continue à combattre.
De 8 à 12 : Le PNJ tente de rompre le combat.
De 13 à 15 : Le PNJ meurt.

Créature
Halfling
Humain – Gobelin
Orque – Spadassin –
Homme bête
Orque noir – Champion
Minotaure – Tueur
Troll

Parade éclair
Effet : Annule le malus lors des parades réactives.

Les points de Blessure sont supprimés, on ne les prend plus en compte.
Chaque coup reçu infligeant des dégâts inflige un critique, à relever sur le tableau suivant.

D100





BF
5
6

Note : Les malus de CC s’appliquent aussi à la CT, F
et Ag, selon les souhaits du MJ. Aucune action possible n’empêche pas les parades/esquives si cellesci sont possibles, mais empêche l’utilisation des
postures. Les tests d’E peuvent être remplacés par
des tests de FM si cela rentre dans le cadre de la
résistance mentale. Si seule la résistance physique
compte, le test doit être un test d’E. Par exemple,
l’effet 8 au corps ne relève pas de la résistance
mentale et doit être un test d’E.

Bonus apporté
+ 30 %
+ 20 %

+ 10 %

CC
Attaquer un adversaire désarmé.
Attaquer à 4 contre 1.
Attaquer à 3 contre 1.
Attaquer dans le dos.
Attaquer un adversaire qui court.
Attaquer à 2 contre 1.
Attaquer sur le flanc.
Attaquer un adversaire à terre.
Attaquer un adversaire en contrebas.
Attaquer avec une plus grande allonge.

-10 %

Attaquer en étant à terre.
Attaquer dans la boue, sous une pluie forte…
Attaquer un adversaire situé en hauteur.
Attaquer avec une plus petite allonge.

-20 %

Attaquer de la main non-directrice.

-30 %

Attaquer dans une neige épaisse.

CT
Tirer sur une créature gigantesque (dragon).
Tirer sur un groupe de quatre ennemis.
Tirer sur une créature géante.
Tirer sur un groupe de trois ennemis.
Tirer sur une grosse créature (2-3 fois la taille humaine).
Tirer sur une cible en contrebas.
Tirer sur un groupe de deux ennemis.
Tirer sur une cible se déplaçant lentement (marche).
Tirer sur une cible assez petite (halfling, nain).
Tirer sur une cible en hauteur.
Tirer avec un vent modéré, dans une faible obscurité.
Tirer sur une cible possédant un bouclier.
Tirer sur une cible engagée au corps à corps.
Tirer de la main non-directrice.
Vent fort, nuit noire.
La cible court (M = 4).
Tempête, obscurité totale.
La cible se déplace très vite (M = 8).

Tir en mêlée
Si la cible est engagée au corps à corps, le tir se fait avec -20 % CT. Si le résultat du jet est compris entre la CT normale et la CT
modifiée de -20 %, le tir a touché une cible adjacente, à déterminer avec un d10. Les dégâts sont calculés normalement, mais
sur cette cible (qui ne peut pas être la cible visée au début).
Infection des blessures : Lorsqu’un personnage subit une blessure, il doit faire un test d’E le lendemain. Un test doit être fait
par blessure reçue (qui doit être une plaie ouverte, rarement causée par une arme contondante), modifié par ces facteurs :









Type de plaie :
Superficielle (Critique de 2 à 3) : +20 %
Légère (Critique de 4 à 5): +10 %
Moyenne (Critique de 6 à 7) : +0 %
Profonde (Critique de 8 à 9) : -10 %
Très profonde (Critique de 10 à 15) : -20 %
Fragment d’arme dans la plaie : -20 %
Blessure due à une flèche barbelée : -10 %




Divers :
Environnement infect : -10 à -30 %
Mauvaise hygiène : -10 %





Attributs du PJ :
Dur à cuire : +10 %
Résistance aux maladies : +10 %
Nain ou Halfling : +10 %

Si le test d’Endurance est réussi, la blessure ne s’infecte pas.
En revanche, si le test échoue, la blessure s’infecte. La gravité de
l’infection dépend de la marge d’échec au test d’Endurance. Pour
connaître l’effet, consulter le tableau suivant. Si plusieurs blessures
s’infectent et donnent le même effet, les malus ne se cumulent
pas. Un résultat critique de 1 ne demande jamais de test d’E.
Marge
d’échec :
1 à 20 :
21 à 40 :

41 et
plus :






Propreté de l’arme causant la
blessure :
 Propre/lavée : +10 %
 Normale : +0 %
 Sale/rouillée : -10 %
 Souillée (par des excréments, etc…) : -20 %

Traitement de la plaie :
Blessure lavée (pas besoin de test de soins) : +10 %
Blessure suturée (nécessite un test de soins) :
o Test raté : +10 %
o Test réussi : +20 %
Onguent : +20

Effet :
-10 % à tous les jets pendant 10-BE jours (fièvre, inflammations).
-10 % à tous les jets pendant 1 jour, puis -30 % pendant 10-BE jours, puis -10 % sur 10-BE jours (temps doublés si
le personnage ne s’alite pas).
-10 % à tous les jets pour 1 jour, puis le personnage est trop faible pour faire quoi que ce soit. Il meurt au bout de
5+BE jours, sauf si on l’ampute de la zone infectée. Après avoir été amputé, il doit refaire un test d’Endurance
pour vérifier que l’infection a été stoppée. On peut réaliser un test de Soins après l’amputation pour améliorer les
chances de survie du personnage. Ce test confère un bonus de +10 % au test d’Endurance, +10 % par degré de
réussite. Si le test d’Endurance est réussi, l’infection est stoppée. Sinon, elle s’étend, il faut couper plus haut…

IV – Divers
Interrogatoires :
On fait la liste de ce que sait l’individu interrogé. Puis on trie ces éléments en 4 groupes :
0)
1)
2)
3)

Ce qui sera révélé sans problème
Ce qui sera révélé avec un peu de réticence
Ce qui sera révélé difficilement
Ce qui sera révélé très difficilement

On définit si le sujet est réticent à parler ou non.
-

-

S’il l’est, il faut réussir un test d’intimidation opposé à la Force Mentale de l’adversaire. Le nombre de degrés de réussite obtenu (la différence entre les °R du test d’Intimidation et les °R du test de FM, si celui-ci est réussi également)
correspond aux lignes qui sont révélées.
S’il ne l’est pas trop, la première ligne (0) est révélée tout de suite. Un test d’intimidation réussi permet de débloquer
les lignes jusqu’à la ligne °R+1.

On peut ensuite faire un test de Torture, dont les degrés de réussite s’additionneront aux °R du test d’Intimidation.
Le système est convertible en interrogatoire « discret » (essayer de soutirer des informations en discutant) en remplaçant le
test d’Intimidation par un test de Charisme, mais il n’est plus possible de tenter un test de Torture si on procède ainsi.
Exemple d’interrogatoire : Un meurtre a été commis près du moulin du village. Arnolf, un garde, interroge un suspect. Le suspect sait que le meurtrier est son ami, mais il n’est pas disposé à le révéler au garde. Arnolf effectue son test d’Intimidation,
opposé à la Force Mentale de son adversaire. Il obtient 22, ce qui lui confère deux degrés de réussite. Son adversaire réussit
son test, mais n’obtient aucun degré de réussite. Il va donc révéler les lignes 0, 1 et 2 :
0)
1)
2)
3)

Il a vu un homme rôder peu de temps avant le meurtre, près du moulin. Cet homme était assez grand.
L’homme qu’il a vu boitait.
Il a vu un homme qui lui ressemblait beaucoup dans le village.
Le meurtrier est le boucher, un ami à lui.

Effectuer ces tests ne dispense pas l’interprétation de l’action et du dialogue ! Soyez créatifs pendant votre interrogatoire.

Magie :
Pour rendre la magie réellement plus dangereuse, ajouter un dé du chaos pour tout sort lancé (même sans utiliser la magie
vulgaire). Ce dé ne s’ajoute pas au résultat du jet d’incantation, et ne permet donc pas de lancer les sorts plus facilement. Il ne
compte pas non plus dans le cadre des « 1 » du jet d’incantation (la règle qui énonce : « Si tous les dés du jet d’incantation
donnent 1, le sort échoue et vous devez réussir un test de Force Mentale pour ne pas acquérir un point de folie. »). En revanche, il compte dans le cadre des doubles, triples et quadruples pour la malédiction de Tzeench, ce qui accroit les risques.

Fuites / Poursuites :
On détermine l’avance en mètres du fuyard. Le talent fuite donne +1 M au fuyard seulement pendant BE/2 rounds (arrondi au
supérieur).
Chaque participant fait un test de mouvement sous M*10.
 Si le test est réussi, il parcourt M*6 mètres.
 Si le test est raté, il a rencontré un obstacle qui l’a ralenti (au choix du MJ/PJ). Il parcourt M*6 mètres auxquels on retire (Résultat du test – (M*10))/4. Il peut néanmoins tenter un test d’Ag pour éviter l’obstacle.
o Si ce test est réussi, le protagoniste parcourt ses M*6 mètres normalement.
o Si ce test est raté, il parcourt M*6 mètres auxquels on retire (Résultat du test – (M*10))/2. (Le malus est donc
doublé).
Tous les BE/2 rounds (arrondi au supérieur), chaque participant fait un test d’Endurance. Pour chaque test raté, on augmentera le résultat du test de mouvement de 10 (44 donnera 54) ; les tests d’Ag auront un malus de -10 %, ainsi que les tests d’E. Si
le test est réussi, il doit être repassé au round suivant avec un malus cumulatif de -10 % par round supplémentaire (ce malus
s’annule une fois que le test finit par rater).

Exemple de poursuite : Abel, un voleur, se fait poursuivre
par deux gardes après un larcin. Il possède le talent Fuite et
10 mètres d’avance.
1) Tests de M :
a. Abel (M=50) : 26
b. Garde 1 (M=40) : 31
c. Garde 2 (M=40) : 00
Abel et le Garde 1 ont réussi. Abel parcourt 5*6 = 30
mètres, et G1 parcourt 4*6 = 24 mètres. G2 a obtenu un
échec critique : il se prend un volet en pleine tête et
s’assomme tout seul. Il est hors course.
Abel gagne 30-24 = 6 mètres sur le garde. Ecart = 10+6 =
16 mètres d’avance pour Abel.
2) Tests de M :
a. A : 62
b. G1 : 07
G1 a réussi (24 mètres). Abel rate : il est gêné par un
chat qui passait. Il parcourt (62-50)/4 mètres = 3 mètres
de moins, ce qui fait 30-3 = 27 mètres.
Abel gagne encore 27-24 = 3 mètres ; Avance = 3+16 =
19 mètres.
3) Tests d’E : Abel rate son test. De plus, Fuite ne fonctionne plus (2 rounds se sont écoulés). Le Garde a réussi.

4) Tests de M :
a. A : 34
b. G1 : 44
En principe, Abel a réussi mais il a raté son test
d’Endurance, il doit donc rajouter 10 ce qui fait 44. Il
parcourt (44-40)/4 = 1 mètre de moins, ce qui fait 6*4 1 = 23mètres. Le garde rate de peu et parcourt 24-1 =
23 mètres. Abel ne prend pas d’avance mais le garde
est presque semé.
5) Test d’E pour le garde, qui avait réussi. Malgré un malus
de -10 % en E, il réussit.
6) Tests de M :
a. A : 98
b. G1 : 76
Abel rate. Il se cogne dans une charrette garée dans la
ruelle. Il tente un test d’Ag pour éviter cette maladresse, mais le rate : il perd ((98+10)-40)/2 mètres = 34
mètres. 24-34 = -10 : Abel ne parcourt aucune distance
durant ce round (il ne recule pas !). Heureusement, G1
a raté et parcourt 15 mètres.
7) Abel ne peut plus fuir. Il grimpe dans la charrette et s’y
cache. Le garde passe sans le voir et s’éloigne. Abel repart dans le sens opposé. Son larcin est sauf… et lui
aussi.

Création de personnage :
Appliquer toutes les modifications suivantes :




A la création du personnage, Le joueur peut intervertir deux à quatre valeurs de caractéristiques, mais la miséricorde de
Shallya est interdite, même si aucune caractéristique n’est intervertie. Les elfes possèdent 2d10 +10 % E. Les joueurs
commencent avec 2d10 pa, pas co.
Certaines carrières doivent être modifiées pour mieux correspondre aux règles ou tout simplement à la réalité :
 Ajouter (parfois en option « ou ») Maîtrise (arbalètes) à : Chasseur de Primes ; Assassin ; Mercenaire ; Collecteur
de Taxes ; Combattant des Tunnels ; Eclaireur ; Matelot ; Passeur ; Porterune ; Soldat ; Chef de bande ; Explorateur ; Vétéran.
 Ajouter Filature à : Garde.

Gestion des tests :


Les tests « normaux » sont gérés de façon classique, en lançant un d100 et en observant le résultat. Seule une règle
s’ajoute : les résultats de 01-02 donnent une réussite critique, qui indique des effets plus puissants (à l’appréciation du
MJ). Pendant un combat, le 01 sur une attaque est une réussite obligatoire, impossible à parer, qui touche à la tête est
donne automatiquement un 10 sur le dé de dégâts. Le 02 donne lui un 9 de dégâts, sauf si le joueur obtient 10 en lançant
le dé tout de même. Hors combat, ce résultat pourrait par exemple indiquer la découverte d’une cachette secrète contenant dix fois plus de butin que prévu, dans le cadre d’un test de Fouille.
Les résultats de 99-00 sont eux des échecs critiques, qui indiquent des effets très néfastes (voire dangereux) sur le joueur.
Ces effets ne peuvent pas être évités par la dépense de points de fortune. Pendant un combat, les 99-00 peuvent indiquer que le personnage trébuche et tombe, et d’autres effets plus critiques encore s’il utilise une arme Peu Fiable ou Expérimentale. Hors combat, ce résultat pourrait par exemple indiquer une chute du haut d’une falaise, dans le cadre d’un
test d’Escalade.
Les 01/00 ne sont plus des critiques si la difficulté du test les surpasse. Exemple : Test d’Ag, avec 26 en Ag et un malus de 30 % (ce qui fait moins de 0 % de réussite). Le 01 est tout de même une réussite, mais pas critique, et le 02 est un échec.



Les tests opposés sont gérés de la façon suivante : les deux protagonistes effectuent leur test, puis on avise.
 Si un seul des deux a réussi son test, c’est lui qui remporte le test.
 Si les deux ont réussi le test, on les départage avec le nombre de °R, et le résultat le plus bas s’ils sont identiques.
 Si les deux ont raté le test, ils doivent tous deux le retenter jusqu’à ce qu’un des deux sorte vainqueur. Les tests
comme Charisme ou Intimidation entrent dans le cadre des tests opposés :
Compétence

Opposer à

Compétence

Opposer à

Compétence

Opposer à

Dissimulation
Déplacement silencieux
Déguisement
Filature

Perception
Perception
Perception
Perception

Jeu
Escamotage
Charisme
Torture

Perception Intimidation
FM
Perception
Baratin
FM
FM
Hypnotisme
FM
FM
Marchandage Marchandage

Faire attention à l’application des modificateurs de tests opposés. Exemple avec un déplacement silencieux :
o Une boue épaisse recouvre le sol. Ne pas donner un bonus au garde, mais un malus au voleur : c’est lui qui aura
du mal à ne pas faire de bruit, et non pas le garde qui entendra plus facilement.
o Le garde dort. Ne pas donner un bonus au voleur : ce n’est pas lui qui fera moins de bruit. Donner un malus au
garde à la place, car il aura bien du mal à entendre le bruit du voleur.
Cela peut sembler peu important, mais les chances de rater un test sont plus grandes en subissant un malus qu’en donnant un bonus à l’adversaire.


S’il y a plus de deux participants, on constitue deux groupes, chacun utilisant une compétence. Chaque participant lance
les dés : si tous ratent, on relance. Si un seul réussit, le test est réussi pour lui, mais ceux de son groupe doivent relancer
contre le groupe adverse jusqu’à résolution. Exemple : Deux gardes cherchent un voleur. Groupe gardes = Perception.
Groupe voleur = Dissimulation. Test : G1 = 03, G2 = 89, V = 75 ; G1 a réussi et voit le voleur, mais G2 a raté et le voleur
aussi. G2 relance donc contre le voleur : G2 = 56, V = 27 ; Cette fois, c’est le voleur qui réussit, et le test est terminé. Le
garde 1 a vu le voleur, mais le garde 2 ne l’a pas vu.



Les tests qui demandent un certain temps pour être réalisés peuvent faire l’objet de tests étendus plutôt que d’un test
simple. Par exemple, plutôt que de demander un seul test de crochetage à un joueur pour voir s’il réussit ou non, le MJ
peut décider qu’il a le droit de tenter 6 tests de crochetage, et qu’il devra en réussir 3 pour crocheter la serrure. Chaque
test prend un round entier, ce qui peut ajouter une grande tension si les joueurs essayent de crocheter une serrure en
pleine rue entre deux patrouilles de gardes. Voici les tests qui peuvent faire l’objet de ce système :
Compétence

Dans quel cas ?

Crochetage

Dans le cas du crochetage d’une serrure avec un temps limité. Un test peut représenter 10 secondes.
Dans le cas de recherches dans des écrits. Chaque test peut représenter 4 heures de travail. Utilisé à
la manière du Seigneur des Anneaux, lorsque Gandalf cherche des informations sur l’anneau unique,
cela peut amener une grande tension si le temps est limité.
Préparer une potion ou un poison peut faire l’objet d’une série de tests, en raison du temps nécessaire à la réalisation de telles préparations.
Une série de test peut permettre de visualiser le temps qu’il a fallu pour soigner un personnage, et
donc vérifier que le soigneur a eu le temps de sauver la victime d’une éventuelle hémorragie.
Alternativement au système d’interrogatoire proposé plus haut, on peut décider que le joueur a droit
à un certain nombre de tests, et que chaque test réussi dévoile une ligne d’informations de plus.

Connaissances
académiques
Préparation de
Poisons ou Potions
Soins
Intimidation et
Torture


Les tests qui présentent un certain danger ou qui devraient être relativement simples peuvent être assouplis, plutôt que
de leur donner un bonus : par exemple, un test d’Escalade ne se soldera pas à chaque échec par une chute de la falaise.
Cela dissuaderait totalement les joueurs d’essayer. De même, nul besoin d’être très fort en Charisme pour réussir un mensonge. Ainsi, on peut interpréter différemment l’échec en fonction des degrés d’échec (°E) :
De 0 à 1 degrés d’échec : On peut ajouter de petits malus à la résolution du test, mais celui-ci sera tout de même
réussi. Ainsi, un test d’Escalade pourra prendre plus de temps, et un mensonge pourrait n’être cru qu’à moitié.
2 degrés d’échec : On peut ajouter des malus plus importants, comme la perte d’une partie de l’équipement pendant le test d’Escalade, en plus de la perte de temps.
3 degrés d’échec : Le test échoue totalement, et les conséquences sont plutôt grave : le test d’Escalade se conclura par une chute spectaculaire, le mensonge par une réaction hostile… Mais ce ne sont que des exemples.

Actions spéciales de combat :
Sauter : 1 round avec élan, ½ round sans élan. Un personnage peut sauter au maximum de (BF+M)/2 mètres avec un élan de
M à M*2 mètres. Il doit réussir un test d’Agilité. S’il le rate, il parcourt 0.5 m de moins, + 0.5 m de moins par degré d’échec.
Cette distance (après application des malus dus au test d’Agilité) est divisée par deux si le personnage saute sans élan.
Sauter d’une certaine hauteur pour attaquer (en retombant brutalement sur l’adversaire) compte comme une charge, mais le
test de saut doit être réussi.
Désengagement : Si un personnage se déplace (ou se relève après une chute) alors qu’il est engagé au corps à corps, chacun
de ses adversaires a droit à une attaque gratuite contre lui (ils doivent tout de même réussir un test de CC). Ces attaques peuvent être évitées si le joueur dispose d’une esquive ou d’une parade à utiliser. Dans le cas où il serait au sol, les malus « à
terre » s’appliquent pour parer/esquiver cette attaque gratuite. S’il est touché malgré tout, il doit rester au sol.
L’utilisation de l’action de Désengagement utilise un demi-round (ce qui permet seulement de se déplacer de la moitié de la
distance normale) mais annule automatiquement les attaques gratuites adverses, qui ne peuvent donc pas être tentées.

Usure des boucliers :
A chaque coup paré à l’aide d’un bouclier ou d’une rondache, on calcule les dégâts normalement, mais c’est l’arme de parade
qui les subit, et pas le personnage. Lorsque l’arme de parade atteint 0 PV, elle est détruite sur le coup et son porteur subit
l’effet 111-999+ du tableau des effets négatifs de parade. Un bouclier/rondache est une armure moyenne/lourde. Il subit donc
+1 de dégâts par les armes contondantes, mais -3 de dégâts par des armes perforantes et -1 par des armes vicelardes.
Les PVs sont modifiés selon la qualité : Médiocre : PV*0.5 ; Bonne : PV*1.5 ; Exceptionnelle : PV*2

Bouclier cerclé, en bois :

8

80

Nombre moyen
de coups
supportables
20

Rondache, en acier :

9

90

30

Bouclier de fortune (botte de paille,
bouclier non cerclé, morceau de
bois,…) : Pas de bonus à la parade.

7

50

10

Arme normale

6

-

Infini

Arme de parade

BE PV

Jeux de taverne :
Bras de fer : Version simple : Un test de Force opposé.

Règles de sauts en hauteur :

Hauteur

Difficulté

Dégâts si raté

0-2m
2m +
2.5m +
3m +
3.5m +
4m +
4.5m +
5m +
5.5m +

Réussite auto
+30 % Ag
+20 % Ag
+10 % Ag
+0 % Ag
-10 % Ag
-20 % Ag
-30 % Ag
Echec auto

2
3
3
4
4
5
5
6+

Le test d’Ag est modifié selon ce tableau. Seules les armures légères réduisent les dégâts de chute, de 1 point.

Version complète : Le jeu commence à 0 points. Il faut réaliser un test de F opposé par round. Remporter le test fait gagner 1
point, le rater fait perdre 1 point. Si le joueur arrive à 2 points, il gagne ; à -2 points, il perd. Si les deux protagonistes réussissent leur test, aucun point n’est gagné, mais le score excédentaire est rajouté à la F pour le round suivant, comme bonus.
Il est possible de tricher avant chaque round avec un test de Jeu opposé à la Perception de l’adversaire. S’il est réussi, le joueur
peut ajouter 10 à sa force pour ce round. S’il est raté, sa tentative de triche est démasquée.
Cartes : Version simple : Chaque participant lance 1d100. Le score le plus haut remporte la partie. La compétence Jeu permet
d’ajouter automatiquement la moitié de l’Int au score du d100, sans test. On peut tenter de tricher si on possède la compétence Jeu, et qu’on a caché des cartes dans ses manches, bottes… Cela double le bonus apporté par la possession de cette
compétence. Il faut réussir un test de Jeu opposé à la Perception des autres joueurs. S’il est raté, le tricheur est démasqué.
Version complète : Le jeu est limité à huit joueurs. On prend un jeu de 32 cartes (7-8-9-10-V-D-R-As) pour trois ou quatre
joueurs, 40 cartes pour cinq joueurs, puis on ajoute 4 cartes par joueur supplémentaire, jusqu’à arriver à 8 joueurs et 52
cartes. Au début de chaque manche, les joueurs placent une mise de départ (définie par les joueurs au début de la partie). Puis
le donneur distribue les cartes une par une, dans le sens des aiguilles d’une montre, jusqu’à ce que chaque joueur ait reçu 5
cartes. Ensuite, le joueur à gauche du donneur peut choisir de grossir la mise, de la laisser telle quelle, ou d’abandonner. La
parole passe ainsi de joueur en joueur. Si l’un d’eux grossit la mise, les joueurs doivent l’égaler ou abandonner. Lorsque tout le
monde a misé la même somme, chaque joueur (à commencer par le joueur à gauche du donneur) choisit entre 0 et 4 cartes à
changer, qu’il rend au donneur. Le donneur les glisse sous le paquet et lui en distribue autant de nouvelles. Une fois que tous
les joueurs ont terminé leurs échanges, on peut faire encore un tour de mises. Puis les joueurs abattent leurs cartes. La plus

forte combinaison remporte toutes les mises. Le donneur devient alors le joueur à gauche du donneur de ce tour. Ne jamais
brasser les cartes : remettre les cartes utilisées sur le dessus du talon et couper.
Il est possible de tricher si on possède la compétence Jeu, et qu’on a caché des cartes dans ses manches, bottes… Le tricheur
doit avoir caché ces cartes avant le début de la partie, et doit donc être propriétaire du jeu de cartes avec lequel on joue, ou
au moins avoir eu le temps de prélever les cartes voulues. Il ne peut en cacher que 2, et doit choisir lesquelles cacher. Souvent,
ce seront des as et des cartes fortes… Il faut réussir un test de Jeu opposé à la Perception des autres joueurs. S’il est raté, le
tricheur est démasqué. S’il est réussi, le joueur peut remplacer une des cartes de sa main par une carte qu’il a cachée. Il cache
alors la carte de sa main, et la range à la place de la carte qu’il sort. Il peut donc conserver deux cartes toute la partie.
Dés : Version simple : Appliquer les règles de la version simple du jeu de cartes. Pour tricher, il faut posséder des dés pipés.
Version complète : Il est plus facile de jouer à deux, mais il est possible de jouer à trois ou quatre. Avant de lancer les dés, les
joueurs placent une mise de départ (définie par les joueurs au début de la partie). Ensuite, chaque participant lance 5d6. Puis il
choisit les dés à relancer, pour former des combinaisons. Le jeu se joue en plusieurs manches ; au début de chaque manche,
après que chaque joueur ait lancé une première fois les dés, le premier joueur peut choisir d’augmenter la mise, comme au
poker : les autres joueurs doivent alors suivre, ou abandonner et perdre automatiquement cette manche. Le premier joueur à
gagner deux manches remporte toutes les mises.
La possession de dés pipés permet de tricher. Il n’est pas besoin de test de Jeu, puisque n’importe qui peut acheter des dés
truqués. Pour que cette triche fonctionne, il ne faut bien sur pas que les autres joueurs jouent avec ces dés.
Tout d’abord, on détermine quelle face des dés est truquée (en général, ce sera le 6). Ensuite, on lance 1d20. Entre 1 et le
nombre de dés pipés lancés (par exemple, pour 3 dés pipés sur les 5 : de 1 à 3), la triche réussit : le joueur DOIT remplacer un
des dés qu’il vient de lancer par la face pipée (généralement 6). Les autres joueurs peuvent finir par remarquer l’astuce…

Combinaisons à 32-40 cartes à 44-52 cartes
Carte haute
Paire
Double paire
Brelan
Suite
Full
Carré
Couleur
Suite Impériale

Carte haute
Paire
Double paire
Brelan
Suite
Couleur
Full
Carré
Suite Impériale

aux dés
Dé haut
Paire
Brelan
Double paire
Carré
Suite
Full
Quinte
-

Note sur la suite aux cartes
La suite est formée de cinq cartes consécutives.
L’as peut être utilisé comme la carte la plus forte
pour former la suite 10-V-D-R-As, mais également comme la carte la plus faible pour former
la suite As-2-3-4-5 (ou As-7-8-9-10 dans le cas
d’un jeu à 32 cartes par exemple).

Boisson : Les joueurs effectuent des tests de Résistance à l’alcool. Au bout de quatre tests ratés, un joueur est éliminé. Le dernier à rester en course est le gagnant. Il est possible de tricher chaque round avec un test de Jeu opposé à la Perception des
autres joueurs. S’il est réussi, le tricheur n’effectue pas de test d’Endurance ce round. S’il est raté, sa fourberie est découverte.
Lancer de couteaux : Chaque participant a droit à 3 tirs (CT/2 si le talent Maîtrise (armes de jet) n’est pas possédé). S’il est
réussi, la marge de réussite est le nombre de points gagnés. S’il est raté, le joueur gagne 1d10 points. Posséder la compétence
Jeu permet de disposer d’un point de fortune utilisable uniquement pendant la partie. Celui qui prend le plus de points gagne.

Points de fortune :
Les points de fortunes peuvent être utilisés par le joueur pour faire apparaître un petit élément de décor utile. Exemples :
 Une charrette remplie de foin, sous une fenêtre, avant de sauter.
 Un lustre à décrocher pour le faire tomber sur les opposants.
 Une lanterne pleine d’huile sur une table, pour mettre le feu.
 Une bouche d’égout dans une ruelle sans issue.
 Un chien qui court dans les pattes du garde qui tenait le personnage en joue.
Le MJ est seul juge d’accorder ou non l’objet proposé par le joueur.

Points de destin :
Les points de destin ne peuvent être utilisés que pour éviter la MORT et la PARALYSIE. On ne peut pas les utiliser pour éviter
la perte d’un membre, par exemple. Les effets critiques stipulant la mort en plus d’une séquelle ne sont donc pas évités en
entier : le joueur ne meurt pas, mais subit tout de même la séquelle. Par exemple, un joueur qui meurt à cause de la perte de
sa jambe et utilisant un point de destin ne mourra pas, mais perdra sa jambe.

Déroulement complet d’une action de combat d’attaque pour un joueur :
Etape 1 : Choix tactiques





Choix de l’adversaire à combattre.
Choix de la posture à utiliser (au début du round seulement).
Choix de l’action à utiliser (attaque standard ou action spéciale ?).
Application des différents paramètres par le MJ pour évaluer la difficulté du test de CC.

Etape 2 : Roulements de dés
o
o
o
o

Jet de CC pour déterminer la réussite de l’attaque et sa localisation.
Jet éventuel de parade ou d’esquive au cas ou l’attaque a réussi.
Jet de dégâts et calcul de l’effet critique. Si l’attaque a été parée, détermination d’un éventuel effet secondaire de parade.
A ce stade, on sait si l’attaque a réussi ou non, on sait si elle a été parée, ou esquivée, on connaît sa localisation, et on
connaît son effet et les dégâts infligés.

Etape 3 : Narration




Le joueur décrit son attaque en s’appuyant sur les paramètres connus. Une attaque réussie portant au corps, avec une
tentative de parade de l’adversaire, et donnant l’effet 5 pourrait par exemple être : « J’enchaîne plusieurs coups bas avant
de soudainement revenir vers son épaule. J’évite sa lame et je plante la mienne entre deux de ses côtes. »
Remarque : les coups critiques n’incluent pas la description complète du coup porté. Ils ne donnent que l’effet final de
l’attaque, ce qui n’exclut pas un échange de coups avant le choc. Un round de combat n’équivaut pas à un coup d’épée,
mais bien à plusieurs passes d’arme !
Tests cachés
Certains tests doivent être réalisés en secret par le MJ, pour que le joueur ne sache pas si son test a réussi. Les voici :
Interrogatoires ; Evaluation ; Fouille ; Perception* ; Connaissances générales/académiques* ; Alphabet Secret* ; Dissimulation, Filature et Déplacement Silencieux* ; Langage Secret* ; Langue* ; Lire/Ecrire* ; Orientation ; Pistage.
Les noms comportant une * ne doivent pas toujours être réalisés en secret, mais seulement dans certains cas ou selon
le MJ. Par exemple, imaginons qu’un joueur tente une Filature. Le MJ effectue les tests, ce qui donne un échec pour le
joueur. Pourtant, le PNJ suivi continue de marcher normalement (pour tendre un piège au joueur). Si le joueur voit qu’il
a échoué, il saura que le PNJ est louche. S’il ne sait pas qu’il a échoué, il peut ne pas se méfier…
Dans le même ordre d’idée, imaginons un joueur qui tente de se souvenir d’une information (par exemple, un homme
lui indique que ce qu’il cherche se trouve dans la « Rue de la Lune »). Mettons que cette rue n’existe en fait pas. Si le
test de CG est caché, le joueur ne saura pas si le MJ ne lui révèle pas la localisation de la rue parce que le test de CG a
raté, ou parce que son personnage n’a jamais entendu parler de cette rue. Cela introduit le doute dans les tests.

Table de revenus (hors aventure) :
Revenu

Par jour (s)

Par semaine (s)

Par mois (pa)

Par an (co)

Miséreux : Paysan, Servant, Chasseur, Milicien…

0-4

5 - 25

1-8

½-5

Pauvre : Eleveur, Garde, Patrouilleur…

5 - 10

30 - 60

10 - 20

6 - 12

Moyen : Soldat, Mercenaire, Artisan, Petit bourgeois…

6 - 25

35 - 150

12 - 50

7 - 30

Honnête : Sergent, Commerçant, Aubergiste, Scribe…

10 - 60

60 - 350

20 - 115

12 - 70

Bon : Receleur, Prêtre, Erudit, Capitaine…

20 - 70

120 - 350

40 -115

24 - 70

Très bon : Médecin, Noble rural, Maître artisan …

30 - 120

180 - 720

60 - 240

36 - 144

Excellent : Marchand, Petit noble…

80 - 400

480 - 2400

160 - 800

96 - 480

Hors du commun : Noble, Chef de guilde…

150 - 500

900 - 3000

300 - 1000

180 - 600

Nanti : Noble important, Chef de guilde de marchands…
Richissime : Aristocrate, Grand prêtre, Tête d’une famille marchande…

200 - 750

1200 - 4500

400 - 1500

240 - 900

800+

5 000+

1 700+

1 000+

Equipement
Armures
Cuir Bouilli
Cervelière
Calotte
Plastron
Gantelet
Canon d’avant bras
Canon d’arrière bras
Spallières
Cuissots
Genouillères
Grèves
Bottes
Matelassée
Cale de tête
Gilet
Chemise
Chemise courte
Robe
Gambison
Gambison court
Jambières
Guêtres
Brassards
Maille
Camail
Gilet
Robe
Chemise
Chemise courte
Haubert
Cotte
Jambières
Maille Cousue
Casque
Gilet
Robe
Chemise
Chemise courte
Cotte
Broigne
Jambières
Plates
Salade
Heaume
Plastron
Gantelet
Canon d’avant bras
Canon d’arrière bras
Spallières
Cuissots
Genouillères
Grèves
Bottes

Prix
25pa
18s
3pa
10pa
24s
16s
16s
24s
16s
24s
16s
24s
8pa
1pa
3pa
5pa
4pa
4pa
6pa
5pa
2pa
1pa
1pa
5co
10pa
45pa
55pa
65pa
55pa
75pa
65pa
25pa
3co
5pa
25pa
32pa
40pa
32pa
40pa
47pa
15pa
10co
15pa
30pa
80pa
15pa
9pa
9pa
12pa
9pa
12pa
9pa
15pa

Equipement
Plaques
Brigandine
Robe
Cotte
Jacques
Chemise
Chemise courte
Jambières
Ecailles
Gilet
Robe
Cotte
Chemise
Chemise courte
Manteau
Jambières
Armes de corps à corps
Hache/Pic/Pique
Masse/Marteau
Epée
Rapière/Sabre
Main gauche
Morgenstern
Fléau d’armes*
Epée longue/Espadon*
Hache de bataille longue*
Marteau de guerre long*
Epée batarde
Fauchon/Messer
Epée courte/Glaive
Dague
Poignard/Couteau
Gourdin
Gourdin clouté
Bâton*
Lance de cavalerie*
Coup de poing
Lance*
Demi-lance
Hallebarde/Armes d’Hast*
Hache d’armes*
Bouclier
Rondache
Fleuret
Brise-lame
Munitions (par 5)
Flèches/Carreaux classiques
Flèches/Carreaux bodkin
Flèches/Carreaux de chasse
Flèches/Carreaux barbelés
Flèches incendiaires (1)
Flèches/Carreaux matras
Balles
Poudre (pour 1 tir)

Prix
66pa
30pa
39pa
48pa
57pa
48pa
39pa
18pa
6co
60pa
73pa
87pa
87pa
73pa
5co
33pa
6pa
8pa
12pa
20pa
4pa
13pa
17pa
27pa
14pa
15pa
20pa
10pa
10pa
3pa
2pa
1pa
15s
3s
12pa
3pa
7pa
16pa
18pa
17pa
9pa
6pa
18pa
10pa
3s/4s
6s/8s
5s/6s
5s/6s
3s/4s
6s/8s
1s
2s

Equipement

Prix

Equipement

Prix
Armes à distance
Services
Arc simple
8pa Rasage
4s
Arc court
5pa Bain (auberge)
9s
Arc long
14pa Bain (publics)
5s
Arc Elfique
Médecin
45s
Arbalète à levier
20pa Chirurgie
30s
Arbalète à répétition
80pa Scribe (heure)
1pa
Arbalète de poing
26pa Ecuries (la nuit)
4s
Arquebuse
5co Location cheval
10s
Arquebuse à répétition 20co par jour
Pistolet
65pa Aiguisage
2s-8s
Pistolet à répétition
13co Réparation
5-50s
d’armure/PA
Long fusil d’Hochland
Tromblon
22pa Transport
Etoile de jet
42s Carriole (5 km)
1s
Dague de jet
42s Chariot (5 km)
2s
Hache de lancer
5pa Coche (5 km)
3s
Bolas
5s
Barge (20 km)
6s
Filet
2pa Traversée bac
3s
Fouet
3pa Péage (pont…)
3s
Lasso
20s Taxe d’entrée
2s
en ville (piéton)
Fronde
5s
Fustibale*
1pa Taxe d’entrée
4s
Javelot
11pa en ville (cheval)
Lance
7pa Taxe d’entrée
3s
en ville (chariot)
Divers
Torche
2s
Divers
Allumettes (10)
5s
Cheval de selle
80pa
Bougie de cire
4s
Tente (1 place)
30s
Bougie de suif
1s
Tente (2 places)
5pa
Lampe
1pa Cartes
10s
Lanterne
2pa Dés en os (2)
1s
Lampe-tempête
3pa Dés pipés (2)
3s
Huile pour lampe (4 h)
2s
Couverture
10s
Corde (au mètre)
5s
Grappin
6pa
Amadou (6 charges)
5s
Savon
5s
Hostellerie
Tabatière
8s
Bière (pinte : 33cl)
1s
Tabac, 3 charges
1s
Ale (pinte : 33cl)
2s
Bourse
3s
Hydromel (pinte : 33cl)
2s
Escarcelle
6s
Vin (coupe : 14cl)
3s
Sac à dos
20s
Alcool fort (bouteille)
20s Gibecière
10s
Tord-boyaux (bouteille)
5s
Outre
7s
Miche de pain (livre)
1s
Carquois
15s
Rations (par repas)
2s
Coffret en bois
4pa
Soupe
1s
Denrées
Ragoût
2s
Poisson frais (1)
2s
Tourte
1s-3s Fromage (livre)
7s
Viande (pièce)
1pa Fruits/légumes
2s
Chambre privée
1pa (livre)
Chambre privée pour 2
16s Repas (mauvais)
1s
Nuit au dortoir
2s
Repas (moyen)
2s
Nuit au coin du feu
1s
Repas (bon)
4s
Coupe de cheveux
4s
Repas (très bon) 10s

Ajouter une nouvelle monnaie, le liard : ce sont de petites piécettes en bronze utilisées pour fixer le prix de petits bibelots,
acheter un fruit à l’unité, donner à un mendiant, jouer à des jeux d’argent, bref : ce qui demande des pièces de faible valeur.

Armes tranchantes

1
2
3

4

5

6

7

8

Jambes
Le plat de la lame frappe le tibia. Test d’Ag +20 %
pour ne pas tomber et perdre ½ round (+½ round
pour se relever).
L’arme entaille le mollet. Test d’Ag +10 % pour ne
pas tomber et perdre ½ round.
L’arme entaille le haut de la jambe. Test d’Ag pour
ne pas tomber et perdre ½ round. -5 % CC pour ce
round et le suivant.
L’arme pénètre le muscle du mollet. Test d’E -10 %
pour ne pas tomber et perdre ½ round. -5 % CC pour
1d10/2 rounds.
L’arme tranche une partie du muscle de la cuisse
mais n’atteint pas l’artère. Test d’E -10 % pour ne pas
tomber et perdre ce round et le suivant à hurler de
douleur. -10 % CC pour 1d10/2 rounds.
L’arme endommage le tendon d’Achille. Test d’E -20
% pour ne pas tomber et perdre ce round et le suivant. -10 % CC pour 1d10 rounds. -1 M jusqu’à guérison.
L’arme perfore le pied. Test d’E -20 % pour ne pas
tomber et perdre 1d10/2 rounds à hurler de douleur.
-15 % CC pour 1d10 rounds. -1 M jusqu’à guérison.
L’arme se fiche dans le genou. Test d’E -30 % pour ne
pas tomber et perdre 1d10/2 rounds à saisir la plaie
en criant. -20 % CC pour 1d10 rounds. M/2 jusqu’à la
guérison.

9

L’arme pénètre et détruit la rotule. Test d’E -30 %
pour ne pas tomber et perdre 1d10 rounds à saisir le
genou agonisant. Une réussite divise ce temps par
deux. La jambe devient inutilisable (M/2) jusqu’à
obtention de soins. -25 % CC pour le reste du combat.

10

L’arme tranche profondément dans le genou, rompant
les ligaments croisés ancrant les os supérieurs de la
jambe aux os inférieurs. Chute immédiate, aucune
action possible pendant 1d10 rounds. M/2 jusqu'à
guérison. -30 % CC pour le reste du combat.

11

L’arme tranche 1d10/2 orteils. Réduire de façon
permanente -2 % en Ag pour chaque orteil perdu. Sur
un 10, le gros orteil est aussi coupé : -1 M définitif.
Chute immédiate, -20 % CC pour le reste du combat.

12

L’arme tranche le pied à la cheville. Chute immédiate, aucune action possible pendant 1d10 rounds.
Une hémorragie se déclare : Test d’E après BE rounds
pour éviter de tomber inconscient. La guérison doit
être obtenue avant 1d10 heures pour éviter la mort.
M/2 et -20 % Ag de manière permanente.

13

14
15

L’arme tranche proprement la jambe au niveau du
genou. La mort par perte de sang aura lieu en
1d10/2 rounds à moins d’obtenir la guérison avant.
Mêmes malus qu’en 12.
L’arme pénètre profondément à l’intérieur de la
cuisse, lacérant l’artère fémorale. La victime
s’écroule morte, pulvérisant de sang tout ce qui se
trouve alentours.
L’arme creuse profondément dans la hanche. La
jambe se détache du corps, la mort est instantanée.

Bras
Le plat de la lame frappe le dos de la main. Test d’E +10 %
pour ne pas lâcher l’objet tenu.
L’arme entaille un ou plusieurs doigts. Test d’E pour ne pas
lâcher l’objet tenu.
L’arme entaille le biceps. Test d’E -10 % pour ne pas lâcher
l’objet tenu. -5 % CC pour ce round et le suivant.
L’arme touche un muscle de l’épaule, envoyant un choc électrique sur toute la longueur du bras. Test d’E -10 % pour ne pas
lâcher l’objet tenu et perdre ce round et le suivant. -5 % CC
pour 1d10/2 rounds.
L’arme entrouvre la peau sur toute la longueur de l'avant-bras.
Test d’E -20 % pour ne pas lâcher l’objet tenu et perdre ce
round et le suivant à hurler de douleur. -10 % CC pour 1d10/2
rounds.
L’arme touche le poignet et certains des os de l’avant-bras.
Test d’E -20 % pour ne pas lâcher l’objet tenu et perdre 1d10/2
rounds à saisir la plaie en criant. -10 % CC pour 1d10 rounds.
L’arme se fiche dans le coude et atteint le tendon. Test d’E 30 % pour ne pas lâcher l’objet tenu et perdre 1d10/2 rounds à
saisir la plaie en criant. -15 % CC pour 1d10 rounds.
L’arme perfore et détruit le coude. Test d’E -30 % pour ne pas
lâcher l’objet tenu et perdre 1d10 rounds. Une réussite divise
ce temps par deux. L’avant bras ne sert plus à rien jusqu’à ce
qu’il soit guéri par des soins. -20 % CC pour 1d10 rounds.
L’arme perce sous les biceps et tranche tous les tendons
jusqu’aux os. Ce qui est en main est lâché, aucune action possible pendant 1d10 rounds. L’avant bras ne sert plus à rien
jusqu’à ce qu’il soit guéri par des soins. -25 % CC pour le reste
du combat.
L’arme tranche proprement un grand morceau de chair de
l’épaule, du sang se déverse librement sur la longueur du bras.
Ce qui est en main est lâché. Test de FM pour rester debout.
Une hémorragie se déclenche : Test d’E après BE*2 rounds pour
éviter l’évanouissement. Chaque tour suivant, le test se fera à 10 % cumulatifs. -20 % CC et -20 % F le reste du combat.
L’arme tranche 1d10/2 doigts. Sur un 10, toute la main est
coupée au poignet. Réduire de façon permanente -3 % en CC
et Ag (lors de l’utilisation de cette main) pour chaque doigt
perdu. Ce qui est en main est lâché, -20 % CC pour le reste du
combat.
L’arme tranche la main au poignet. Ce qui est en main est
lâché, aucune action possible pendant 1d10 rounds. Une hémorragie se déclare : Test d’E après BE rounds pour éviter de
tomber inconscient. Chaque tour suivant, le test se fera à -10
% cumulatifs. La guérison doit être obtenue avant 1d10 heures
pour éviter la mort. -20 % Ag définitif pour les tests nécessitant l’usage des deux mains.
L’arme tranche le bras au coude. Du sang coule à grosses
gouttes et entraîne l’évanouissement. Seule une guérison peut
empêcher la mort dans les 1d10/2 rounds, mais rien ne peut
empêcher la perte du bras. Ag/2 définitivement.
L’arme perfore l'épaule jusqu’a s’enfoncer dans la cage thoracique. Survient un lent évanouissement dans une mare de sang
de plus en plus large, puis la mort après plusieurs spasmes nerveux.
L’arme se plante dans l'épaule et la découpe jusqu’à la
hanche. Le bras se détache du corps, la mort est instantanée.

Les effets comportant « Test d’E pour éviter de tomber inconscient » incluent « Aucune action possible pour 1d10 rounds ».

Armes tranchantes


Corps

Tête

1

L’arme frappe du plat dans le creux de l’estomac. Test d’E
pour ne pas perdre ½ round.

Le plat de la lame frappe contre le front. Les actions se
feront en dernier et à -5 % CC ce round et le suivant, à
cause de l’étourdissement.

2

L’arme dessine une coupure le long de la poitrine. Test d’E
-10 % pour ne pas perdre ½ round. -5 % CC pour ce round
et le suivant.

Le plat de la lame percute l’arrière de la tête. Les actions
se feront en dernier ce round et le suivant, pour
l’étourdissement. -5 % CC pour 1d10/2 rounds.

3
4
5
6
7

8

9

10

11

L’arme perce le flanc, mais manque de beaucoup les
organes internes. Test d’E -10 % pour ne pas perdre ce
round et le suivant. -5 % CC pour 1d10/2 rounds.
L’arme échoue dans la chair au dessus de la clavicule et
charcute l’épaule. Test d’E -20 % pour ne pas perdre ce
round et le suivant. -10 % CC pour 1d10/2 rounds.
L’arme tranche de biais entre deux côtes. Test d’E -20
% pour ne pas perdre 1d10/2 rounds. -10 % CC pour 1d10
rounds.
L’arme s’enfonce dans le flanc. Test d’E -30 % pour ne
pas perdre 1d10/2 rounds. -15 % CC pour 1d10 rounds.
L’arme frappe en plein thorax et brise plusieurs côtes.
Test d’E -30 % pour ne pas perdre 1d10 rounds. Une réussite divise ce temps par deux. -20 % CC pour 1d10 rounds.
L’arme pénètre dans l’aine. Aucune action possible pour
1d10 rounds. Test d’E pour ne pas devenir stérile. -25 %
CC pour le reste du combat.
L’arme transperce l'aine, perforant la vessie. L’urine se
déverse de la plaie et sur la lame. La guérison doit être
obtenue dans les 48 heures ou la mort surviendra par infection en 2d10 jours. Aucune action possible pendant
1d10 rounds. -30 % CC pour le reste du combat.
L’arme lacère profondément le ventre, touchant les intestins. Test d’E après BE*2 rounds pour éviter
l’évanouissement. Chaque tour suivant, le test se fera à 10 % cumulatifs. -20 % CC et -20 % F pour le reste du
combat. La guérison doit être obtenue avant 24 heures
pour éviter la mort.

Le plat de la lame gifle la tempe. Ce round et le suivant
sont perdus. -10 % CC pour 1d10/2 rounds.
L’arme ouvre une large balafre le long du front, faisant
couler du sang sur les yeux. Ce round et le suivant sont
perdus. -10 % CC pour 1d10 rounds.
L’arme envoie un solide coup sur le côté de la tête. Aucune action possible pour 1d10/2 rounds. -15 % CC pour
1d10 rounds.
L’arme mord le cuir chevelu. -20 % CC pour 1d10 rounds.
Aucune action possible 1d10/2 rounds.
L’arme coupe partiellement une oreille et tranche dans la
joue. -25 % CC pour le reste du combat. Aucune action
possible pour 1d10 rounds.
L’arme tranche le nez et percute le visage. Aucune action
possible pour 1d10 rounds. -30 % CC pour le reste du combat. -5 % Soc permanent, -10 % Perception olfactive, +3
% Intimidation. Les actions engagées se feront à -10 %
jusqu’à la guérison.
L’arme tranche une oreille et écrase la tempe. Test d’E
après BE*2 rounds pour éviter l’évanouissement. Chaque
tour suivant, le test se fera à -10 % cumulatifs. -30 % CC
pour le reste du combat. -10 % Soc permanent, -10 % Perception auditive, +5 % Intimidation.
L’arme taille une grande coupure dans le cou. Test d’E
après BE rounds pour éviter l’évanouissement. Chaque tour
suivant, le test se fera à -10 % cumulatifs. -30 % CC pour
le reste du combat. La guérison doit être obtenue avant
1d10 heures pour éviter la mort.

L’arme s’enfonce profondément dans la cavité abdominale, lacérant la rate. Aucune action possible pendant
1d10 rounds. Une hémorragie se déclare : Test d’E après
BE rounds pour éviter de tomber inconscient. La guérison
doit être obtenue avant 1d10 heures pour éviter la mort.

L’arme percute la mâchoire, fracasse 1d10 dents, coupe
une partie de la langue et s’enfonce dans le gosier. Test
d’E pour éviter de tomber inconscient. Chaque tour suivant, le test se fera à -10 % cumulatifs. -30 % CC pour le
reste du combat. La guérison doit être obtenue avant
1d10/2 heures pour éviter la mort. -1 % Soc permanent et
+0.5 % Intimidation (arrondi au supérieur) par dent cassée, additionné d’un -5 % Soc et d’un +3 % Intimidation
pour la langue.

L’arme tranche sur toute la largeur de l'abdomen,

L’arme découpe profondément la gorge. La mort par perte

12 l’ouvrant entièrement et déversant les entrailles au sol. de sang aura lieu dans les 1d10 rounds à moins d’être

13

14
15

La mort aura lieu en 1d10 rounds à moins d’être soigné.
L’arme lacère profondément le flanc, fracturant des
côtes, touchant un rein avant de se loger dans la colonne
vertébrale. La mort aura lieu en 1d10/2 rounds à moins
d’obtenir la guérison avant. Survivre à ce coup peut entraîner une paralysie : Test d’E -20 % pour éviter une paralysie permanente (1d10 : jambe droite : 1-4, gauche : 58, deux jambes : 9-10).
L’arme perfore la poitrine, fracture les côtes et transperce un poumon, entraînant une douloureuse agonie.
L’arme s’enfonce en plein dans le cœur de la victime, le
laissant mort dans une mare de sang.

soigné.

L’arme s’enfonce dans un œil, jusqu’à l’os. La mort aura
lieu en 1d10/2 rounds à moins d’obtenir la guérison
avant. -15 % Soc permanent, +8 % Intimidation. -15 %
aux tests liés à la vue, CT incluse.
L’arme s’abat sur le crâne et le fend en deux. La mort est
instantanée.

Décapitation !

Une plaie ouverte prend, pour cicatriser, entre deux semaines (pour une plaie légère) et trois mois (pour une plaie très profonde). Le tabac freine la cicatrisation, ainsi qu’une mauvaise alimentation.

Armes contondantes

1
2
3
4

Jambes
L’arme frappe contre le tibia. Test d’Ag +20 % pour ne
pas tomber et perdre ½ round (+½ round pour se relever).
L’arme ricoche sur la hanche. Test d’Ag +10 % pour ne
pas tomber et perdre ½ round.
L’arme percute l’os de la cheville. Test d’Ag pour ne
pas tomber et perdre ½ round. -5 % CC pour ce round et
le suivant.
L’arme frappe durement le genou. Test d’E -10 % pour
ne pas tomber et perdre ½ round. -5 % CC pour 1d10/2
rounds.

Bras
L’arme ricoche sur le dos de la main. Test d’E +10 % pour ne
pas lâcher l’objet tenu.
L’arme frappe contre les doigts. Test d’E pour ne pas lâcher
l’objet tenu.
L’arme percute le biceps. Test d’E -10 % pour ne pas lâcher
l’objet tenu. -5 % CC pour ce round et le suivant.
L’arme frappe l’épaule à grande vitesse. Test d’E -10 % pour
ne pas lâcher l’objet tenu et perdre ce round et le suivant. 5 % CC pour 1d10/2 rounds.

5

L’arme frappe le côté du genou et le fait vriller. Test
d’E -10 % pour ne pas tomber et perdre ce round et le
suivant à hurler de douleur. -10 % CC pour 1d10/2
rounds.

L’arme percute violemment l'avant-bras. Test d’E -20 % pour
ne pas lâcher l’objet tenu et perdre ce round et le suivant à
hurler de douleur. -10 % CC pour 1d10/2 rounds.

6

L’arme percute le tendon d’Achille. Test d’E -20 % pour
ne pas tomber et perdre ce round et le suivant. -10 % CC
pour 1d10 rounds. -1 M jusqu’à guérison.

L’arme frappe contre le coude et touche le tendon. Test d’E
-20 % pour ne pas lâcher l’objet tenu et perdre 1d10/2
rounds à saisir la plaie en criant. -10 % CC pour 1d10
rounds.

7

8

9

L’arme percute le tibia et le fêle. Test d’E -20 % pour ne
pas tomber et perdre 1d10/2 rounds à hurler de douleur. -15 % CC pour 1d10 rounds. -1 M jusqu’à guérison.
L’arme écrase le pied et fracasse les os. Test d’E -30 %
pour ne pas tomber et perdre 1d10/2 rounds à saisir la
plaie en criant. -20 % CC pour 1d10 rounds. M/2 jusqu’à
la guérison.
L’arme percute et détruit la rotule. Test d’E -30 % pour
ne pas tomber et perdre 1d10 rounds à saisir le genou
agonisant. Une réussite divise ce temps par deux. La
jambe devient inutilisable (M/2) jusqu’à obtention de
soins. -25 % CC pour le reste du combat.
L’arme brise totalement le tibia. Chute immédiate,

10 aucune action possible pendant 1d10 rounds. M/2 jusqu'à guérison. -30 % CC pour le reste du combat.

11

12

13

L’arme écrabouille 1d10/2 orteils, perdus à jamais.
Réduire de façon permanente -2 % en Ag pour chaque
orteil perdu. Sur un 10, le gros orteil est aussi coupé : 1 M définitif. Chute immédiate, -20 % CC pour le reste
du combat.
L’arme écrase le pied et le disloque, des os perçants à
travers la peau. Chute immédiate, aucune action possible pendant 1d10 rounds. Une hémorragie se déclare :
Test d’E après BE rounds pour éviter de tomber inconscient. La guérison doit être obtenue avant 1d10 heures
pour éviter la mort. M/2 et -20 % Ag de manière permanente.
L’arme percute si violemment le tibia que l’os transperce le muscle et sort à l’air libre. L a j a m b e e s t
p e r d u e . La mort par perte de sang aura lieu en
1d10/2 rounds à moins d’obtenir la guérison avant.
Mêmes malus qu’en 12.
L’arme pulvérise la hanche, conduisant le fémur hors de

14 son logement. La victime s’écroule morte, pulvérisant
de sang tout ce qui se trouve alentours.

L’arme écrase complètement le bassin, déchiquetant

15 l’artère. La mort est instantanée.

L’arme frappe durement le poignet, qui fêle. Test d’E -30 %
pour ne pas lâcher l’objet tenu et perdre 1d10/2 rounds à
saisir la plaie en criant. -15 % CC pour 1d10 rounds.
L’arme brise l’humérus. Test d’E -30 % pour ne pas lâcher
l’objet tenu et perdre 1d10 rounds. Une réussite divise ce
temps par deux. L’avant bras ne sert plus à rien jusqu’à ce
qu’il soit guéri par des soins. -20 % CC pour 1d10 rounds.
L’arme fait éclater le coude. Ce qui est en main est lâché,
aucune action possible pendant 1d10 rounds. L’avant bras
ne sert plus à rien jusqu’à ce qu’il soit guéri par des soins. 25 % CC pour le reste du combat.
L’arme fracture la clavicule, un fragment osseux manque de
perforer un poumon. Ce qui est en main est lâché. Test de
FM pour rester debout. Une hémorragie se déclenche : Test
d’E après BE*2 rounds pour éviter l’évanouissement. Chaque
tour suivant, le test se fera à -10 % cumulatifs. -20 % CC et
-20 % F pour le reste du combat.
L’arme écrase 1d10/2 doigts, perdus à jamais. Sur un 10,
toute la main est coupée au poignet. Réduire de façon permanente -3 % en CC et Ag (lors de l’utilisation de cette
main) pour chaque doigt perdu. Ce qui est en main est lâché, -20 % CC pour le reste du combat.
L’arme écrase la main et la réduit en bouillie. Ce qui est en
main est lâché, aucune action possible pendant 1d10
rounds. Une hémorragie se déclare : Test d’E après BE
rounds pour éviter de tomber inconscient. Chaque tour suivant, le test se fera à -10 % cumulatifs. La guérison doit être
obtenue avant 1d10 heures pour éviter la mort. -20 % Ag
définitif pour les tests nécessitant l’usage des deux mains.
L’arme fracasse les os de l’avant-bras, qui percent à travers
la chair, provoquant une hémorragie, ce qui entraîne
l’évanouissement. Seule une guérison peut empêcher la
mort dans les 1d10/2 rounds, mais rien ne peut empêcher la
perte du bras. Ag/2 définitivement.
L’arme démolit le bras, le retournant dans un angle improbable. Survient un lent évanouissement dans une mare de
sang de plus en plus large, puis la mort après plusieurs
spasmes nerveux.
L’arme défonce l'épaule, des os s’enfoncent dans la cage
thoracique. La mort est instantanée.

Armes contondantes


Corps

Tête

1

L’arme frappe au creux de l’estomac. Test d’E pour ne pas
perdre ½ round.

L’arme ricoche sur le front. Les actions se feront en
dernier et à -5 % CC ce round et le suivant, à cause de
l’étourdissement.

2

L’arme frappe dans la cage thoracique. Test d’E -10 % pour
ne pas perdre ½ round. -5 % CC pour ce round et le suivant.

L’arme percute l’arrière de la tête. Les actions se
feront en dernier ce round et le suivant, pour
l’étourdissement. -5 % CC pour 1d10/2 rounds.

4

L’arme frappe durement la hanche. Test d’E -10 % pour ne
pas perdre ce round et le suivant. -5 % CC pour 1d10/2
rounds.
L’arme percute la clavicule. Test d’E -20 % pour ne pas perdre
ce round et le suivant. -10 % CC pour 1d10/2 rounds.

5

L’arme frappe dans le plexus solaire. Test d’E -20 % pour ne
pas perdre 1d10/2 rounds. -10 % CC pour 1d10 rounds.

6

L’arme frappe durement dans le creux du ventre. Test d’E 30 % pour ne pas perdre 1d10/2 rounds. -15 % CC pour 1d10
rounds.

7

L’arme frappe en plein thorax et brise plusieurs côtes. Test
d’E -30 % pour ne pas perdre 1d10 rounds. Une réussite divise ce temps par deux. -20 % CC pour 1d10 rounds.

8

L’arme s’écrase sur l’aine. Aucune action possible pour 1d10
rounds. Test d’E pour ne pas devenir stérile. -25 % CC pour le
reste du combat.

3

9

10

11

L’arme percute l’abdomen, ce qui expulse l’air des poumons.
La victime défèque dans ses chausses. -20 % CC et -20 % F
pour le reste du combat.
L’arme s’écrase sur la hanche, la forçant à l’intérieur du
corps. Test d’E après BE*2 rounds pour éviter
l’évanouissement. Chaque tour suivant, le test se fera à -10 %
cumulatifs. -20 % CC et -20 % F pour le reste du combat. La
guérison doit être obtenue avant 24 heures pour éviter la
mort.
L’arme éclate une côte, qui vient s’enfoncer dans le foie.
Aucune action possible pendant 1d10 rounds. Une hémorragie
se déclare : Test d’E après BE rounds pour éviter de tomber
inconscient. La guérison doit être obtenue avant 1d10 heures
pour éviter la mort.

12

L’arme enfonce plusieurs côtes, ce qui comprime les poumons. Des microfuites de sang se déclenchent partout à leur
surface. La mort par perte de sang aura lieu dans les 1d10
rounds à moins d’être soigné.

13

L’arme frappe durement la hanche, ce qui déboite la colonne
vertébrale, déplace des artères et endommage plusieurs organes. La mort aura lieu en 1d10/2 rounds à moins d’obtenir
la guérison avant. Survivre à ce coup peut entraîner une paralysie : Test d’E -20 % pour éviter une paralysie permanente
(1d10 : jambe droite : 1-4, gauche : 5-8, deux jambes : 9-10).

L’arme frappe contre la mâchoire et manque de la
déboiter. Ce round et le suivant sont perdus. -10 % CC
pour 1d10/2 rounds.
L’arme frappe sur le côté du cou. Ce round et le suivant sont perdus. -10 % CC pour 1d10 rounds.
L’arme écrase l’oreille, causant une surdité passagère.
Aucune action possible pour 1d10/2 rounds. -15 % CC
pour 1d10 rounds.
L’arme percute la tempe. -20 % CC pour 1d10 rounds.
Aucune action possible pour 1d10/2 rounds.
L’arme percute violemment l’oreille. La pression soudaine de l’air endommage le tympan. -25 % CC pour le
reste du combat. Aucune action possible pour 1d10
rounds. -10 % Perception auditive permanent.
L’arme percute le visage et brise l’os nasal. Aucune
action possible pour 1d10 rounds. -30 % CC pour le
reste du combat. -5 % Soc permanent, +3 % Intimidation. Les actions engagées se feront à -10 % jusqu’à la
guérison.
L’arme écrabouille l’oreille, le tympan est détruit par
le choc, et du sang coule en abondance de l’oreille.
Test
d’E
après
BE*2
rounds
pour
éviter
l’évanouissement. A c haque tour suivant, le test se
fera à -10 % cumulatifs. -30 % CC pour le reste du combat. -20 % Perception auditive permanent.
L’arme fracture un os dans la nuque. Test d’E après BE
rounds pour éviter l’évanouissement. Chaque tour suivant, le test se fera à -10 % cumulatifs. -30 % CC pour
le reste du combat. La guérison doit être obtenue avant
1d10 heures pour éviter la mort.
L’arme percute la trachée et l’enfonce. Test d’E pour
éviter de tomber inconscient. Chaque tour suivant, le
test se fera à -10 % cumulatifs. -30 % CC pour le reste
du combat. La guérison doit être obtenue avant 1d10/2
heures pour éviter la mort.
L’arme démantibule la mâchoire, détruisant 1d10
dents, et finit sa course au creux du cou. La mort aura
lieu dans les 1d10 rounds à moins d’être soigné. -1 %
Soc permanent et +0.5 % Intimidation (arrondi au
supérieur) par dent cassée.
L’arme percute un œil et le fait éclater. La mort aura
lieu en 1d10/2 rounds à moins d’obtenir la guérison
avant. -15 % Soc permanent, +8 % Intimidation. -15 %
aux tests liés à la vue, CT incluse.

L’arme disloque une omoplate, dont les fragments perforent

L’arme s’abat sur le crâne et le fend en deux. La mort
est instantanée.

L’arme enfonce plusieurs côtes, ce qui fait pression sur le

L’arme fait vriller le cou à 180°, la mort est instantanée.

14 un poumon, entraînant une douloureuse agonie.

15 cœur. Du sang s’accumule dans une artère, qui éclate.

Un os cassé prend entre un et deux mois pour se reformer (avec une alimentation convenable). Un os fêlé se répare bien plus
vite, en deux à trois semaines.

Flèches, carreaux, balles et projectiles

1
2
3
4

Jambes
Le projectile écorche le pied. Test d’Ag +20 % pour ne
pas tomber et perdre ½ round (+½ round pour se relever).
Le projectile entaille la cheville. Test d’Ag +10 % pour ne
pas tomber et perdre ½ round.
Le projectile arrache de la peau sur le mollet. Test d’Ag
pour ne pas tomber et perdre ½ round. -5 % CC pour ce
round et le suivant.
Le projectile s’enfonce en partie dans le mollet. Test d’E 10 % pour ne pas tomber et perdre ½ round. -5 % CC
pour 1d10/2 rounds.

Bras
Le projectile écorche le dos de la main. Test d’E +10 % pour
ne pas lâcher l’objet tenu.
Le projectile entaille le poignet. Test d’E pour ne pas lâcher
l’objet tenu.
Le projectile arrache de la peau sur le dos des doigts. Test d’E 10 % pour ne pas lâcher l’objet tenu. -5 % CC pour ce round
et le suivant.
Le projectile entaille le biceps. Test d’E -10 % pour ne pas
lâcher l’objet tenu et perdre ce round et le suivant. -5 % CC
pour 1d10/2 rounds.

Le projectile écorche la hanche et emporte un peu de
chair. Test d’E -10 % pour ne pas tomber et perdre ce
round et le suivant à hurler de douleur. -10 % CC pour
1d10/2 rounds.
Le projectile percute le tendon d’Achille. Test d’E -20 %
pour ne pas tomber et perdre ce round et le suivant. -10
% CC pour 1d10 rounds. -1 M jusqu’à guérison.
Le projectile perfore le pied. Test d’E -20 % pour ne pas
tomber et perdre 1d10/2 rounds à hurler de douleur. 15 % CC pour 1d10 rounds. -1 M jusqu’à guérison.

Le projectile déchire une partie du muscle sous l’aisselle. Test
d’E -20 % pour ne pas lâcher l’objet tenu et perdre ce round
et le suivant à hurler de douleur. -10 % CC pour 1d10/2
rounds.
Le projectile percute le poignet de plein fouet. Test d’E -20 %
pour ne pas lâcher l’objet tenu et perdre 1d10/2 rounds à
saisir la plaie en criant. -10 % CC pour 1d10 rounds.
Le projectile cogne le coude et fragilise l’os. Test d’E -30 %
pour ne pas lâcher l’objet tenu et perdre 1d10/2 rounds à
saisir la plaie en criant. -15 % CC pour 1d10 rounds.

8

Le projectile brise la cheville. Test d’E -30 % pour ne pas
tomber et perdre 1d10/2 rounds à saisir la plaie en
criant. -20 % CC pour 1d10 rounds. M/2 jusqu’à guérison.

Le projectile s’enfonce profondément dans le coude, l’os est
brisé. Test d’E -30 % pour ne pas lâcher l’objet tenu et
perdre 1d10 rounds. Une réussite divise ce temps par deux.
L’avant bras ne sert plus à rien jusqu’à ce qu’il soit guéri par
des soins. -20 % CC pour 1d10 rounds.

9

Le projectile percute et détruit la rotule. Test d’E -30 %
pour ne pas tomber et perdre 1d10 rounds à saisir le
genou agonisant. Une réussite divise ce temps par deux.
La jambe devient inutilisable (M/2) jusqu’à obtention de
soins. -25 % CC pour le reste du combat.

Le projectile transperce l’avant-bras de part en part. Ce qui est
en main est lâché, aucune action possible pendant 1d10
rounds. L’avant bras ne sert plus à rien jusqu’à ce qu’il soit
guéri par des soins. -25 % CC pour le reste du combat.

10

Le projectile percute et brise le tibia. Chute immédiate,
aucune action possible pendant 1d10 rounds. M/2 jusqu'à guérison. -30 % CC pour le reste du combat.

Le projectile entre dans l’épaule et la perfore. Ce qui est en
main est lâché. Test de FM pour rester debout. Une hémorragie se déclenche : Test d’E après BE*2 rounds pour éviter
l’évanouissement. Chaque tour suivant, le test se fera à -10
% cumulatifs. -20 % CC et -20 % F pour le reste du combat.

11

Le projectile arrache 1d10/2 orteils, perdus à jamais.
Réduire de façon permanente -2 % en Ag pour chaque
orteil perdu. Sur un 10, le gros orteil est aussi coupé : 1 M définitif. Chute immédiate, -20 % CC pour 1d10
rounds.

12

Le projectile se plante dans la cheville et bouche une artère. Le sang cesse de circuler dans le pied, qui bleuit et
est perdu. Chute immédiate, aucune action possible
pendant 1d10 rounds. Une hémorragie se déclare : Test
d’E après BE rounds pour éviter de tomber inconscient.
La guérison doit être obtenue avant 1d10 heures pour
éviter la mort. M/2 et -20 % Ag de manière permanente.

5

6
7

13

14

Le projectile perfore la jambe sous le genou et bouche une
artère. L e s a n g c e s s e d e c i r c u l e r d a n s l e b a s d e
l a j a m b e , q u i b l e u i t e t e s t p e r d u e . La mort par
perte de sang aura lieu en 1d10/2 rounds à moins
d’obtenir la guérison avant. Mêmes malus qu’en 12.
Le projectile s’enfonce dans le fémur, transperçant
l’artère fémorale, arrosant de sang les alentours.
Le projectile transperce la jambe et pourfend l’artère, le

15 muscle et l’os. Du sang est expulsé en torrent de la plaie.

Le projectile déchire les tendons d’1d10/2 doigts, perdus à
jamais. Sur un 10, toute la main est perdue au poignet. Réduire de façon permanente -3 % en CC et Ag (lors de
l’utilisation de cette main) pour chaque doigt perdu. Ce qui
est en main est lâché, -20 % CC pour le reste du combat.
Le projectile transperce la main et détruit tous les os métacarpes, la main est à jamais perdue. Ce qui est en main est
lâché, aucune action possible pendant 1d10 rounds. Une
hémorragie se déclare : Test d’E après BE rounds pour éviter
de tomber inconscient. Chaque tour suivant, le test se fera à
-10 % cumulatifs. La guérison doit être obtenue avant 1d10
heures pour éviter la mort. -20 % Ag définitif pour les tests
nécessitant l’usage des deux mains.
Le projectile traverse l’avant-bras du poignet au coude, expulsant l’os de son logement. L’hémorragie entraîne un évanouissement. Seule une guérison peut empêcher la mort
dans les 1d10/2 rounds, mais rien ne peut empêcher la
perte du bras. Ag/2 définitivement.
Le projectile entre sous l’aisselle et perce jusqu’aux organes
vitaux. La mort survient rapidement.
Le projectile entre par la paume de la main et disparaît entièrement dans le bras, le ravageant de l’intérieur. La victime
crache un filet de sang et s’écroule, morte.

Pour une fronde, une fustibale, ou des projectiles contondants (comme une chaise), la table « Armes contondantes » est
probablement plus adaptée, même si quelques incohérences peuvent subsister.

Flèches, carreaux, balles et projectiles


Corps

Tête

1

Le projectile entaille légèrement le flanc. Test d’E pour
ne pas perdre ½ round.

Le projectile entaille une oreille. Les actions se feront en dernier et à -5 % CC ce round et le suivant, à cause de
l’étourdissement.

2

Le projectile ricoche sur la hanche. Test d’E -10 % pour
ne pas perdre ½ round. -5 % CC pour ce round et le
suivant.

Le projectile entaille une joue. Les actions se feront en dernier ce round et le suivant, pour l’étourdissement. -5 % CC
pour 1d10/2 rounds.

3
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8

9

10

11

Le projectile ricoche sur une côte et retire un peu de
chair. Test d’E -10 % pour ne pas perdre ce round et le
suivant. -5 % CC pour 1d10/2 rounds.
Le projectile perfore le côté de la hanche. Test d’E -20 %
pour ne pas perdre ce round et le suivant à hurler de
douleur. -10 % CC pour 1d10/2 rounds.
Le projectile passe entre deux côtes, sur le bord de la
poitrine. Test d’E -20 % pour ne pas perdre 1d10/2
rounds. -10 % CC pour 1d10 rounds.
Le projectile transperce le flanc. Test d’E -30 % pour ne
pas perdre 1d10/2 rounds. -15 % CC pour 1d10 rounds.
Le projectile transperce la poitrine entre deux côtes. Test
d’E -30 % pour ne pas perdre 1d10 rounds. Une réussite divise ce temps par deux. -20 % CC pour 1d10
rounds.
Le projectile pénètre l’aine. Aucune action possible pour
1d10 rounds. Test d’E pour ne pas devenir stérile. -25
% CC pour le reste du combat.
Le projectile transperce l'aine, perforant la vessie.
L’urine se déverse sur la lame. La guérison doit être
obtenue dans les 48 heures ou la mort surviendra par
infection en 2d10 jours. Aucune action possible p 1d10
rounds. -30 % CC pour le reste du combat.
Le projectile échoue dans le ventre, touchant les intestins. Test d’E après BE*2 rounds pour éviter
l’évanouissement. Chaque tour suivant, le test se fera à
-10 % cumulatifs. -20 % CC et -20 % F pour le reste du
combat. La guérison doit être obtenue avant 24 heures
pour éviter la mort.

Le projectile écorche le front. Ce round et le suivant sont perdus. -10 % CC pour 1d10/2 rounds.
Le projectile ouvre une balafre le long du front, faisant couler
du sang sur les yeux. Ce round et le suivant sont perdus. -10
% CC pour 1d10 rounds.
Le projectile écorche la peau sur la tempe. Aucune action possible pour 1d10/2 rounds. -15 % CC pour 1d10 rounds.
Le projectile mord le cuir chevelu. -20 % CC pour 1d10
rounds. Aucune action possible pour 1d10/2 rounds.
Le projectile coupe partiellement une oreille et tranche dans
la joue. -25 % CC pour le reste du combat. Aucune action
possible pour 1d10 rounds.
Le projectile détruit le nez et percute le visage. Aucune action possible pour 1d10 rounds. -30 % CC pour le reste du
combat. -5 % Soc permanent, -10 % Perception olfactive, +3
% Intimidation. Les actions engagées se feront à -10 %
jusqu’à la guérison.
Le projectile arrache une oreille et écrase la tempe. Test d’E
après BE*2 rounds pour éviter l’évanouissement. Chaque tour
suivant, le test se fera à -10 % cumulatifs. -30 % CC pour le
reste du combat. -10 % Soc permanent, -10 % Perception
auditive, +5 % Intimidation.
Le projectile taille une grande coupure dans le cou. Test d’E
après BE rounds pour éviter l’évanouissement. Chaque tour
suivant, le test se fera à -10 % cumulatifs. -30 % CC pour le
reste du combat. La guérison doit être obtenue avant 1d10
heures pour éviter la mort.

Le projectile s’enfonce profondément dans la cavité
abdominale, lacérant la rate. Aucune action possible
pendant 1d10 rounds. Une hémorragie se déclare :
Test d’E après BE rounds pour éviter de tomber inconscient. La guérison doit être obtenue avant 1d10 heures
pour éviter la mort.

Le projectile percute la mâchoire, fracasse 1d10 dents, charcute une partie de la langue et s’enfonce dans le gosier. Test
d’E pour éviter de tomber inconscient. Chaque tour suivant,
le test se fera à -10 % cumulatifs. -30 % CC pour le reste du
combat. La guérison doit être obtenue avant 1d10/2 heures
pour éviter la mort. -1 % Soc permanent et +0.5 % Intimidation (arrondi au supérieur) par dent cassée, additionné d’un
-5 % Soc et d’un +3 % Intimidation pour la langue.

Le projectile déchire la chair sur l'abdomen, laissant dé-

Le projectile découpe profondément la gorge. La mort par

12 border les entrailles. La mort par perte de sang aura perte de sang aura lieu dans les 1d10 rounds à moins d’être

13

lieu dans les 1d10 rounds à moins d’être soigné.
Le projectile perfore un rein et se loge dans la colonne
vertébrale. La mort aura lieu en 1d10/2 rounds à
moins d’obtenir la guérison avant. Survivre à ce coup
peut entraîner une paralysie : Test d’E -20 % pour éviter une paralysie permanente (1d10 : jambe droite : 14, gauche : 5-8, deux jambes : 9-10).

soigné.

Le projectile perfore la poitrine et transperce un pou-

Le projectile se plante droit dans la gorge et ressort à
l’arrière de la nuque, du sang jaillissant en cascade.

Le projectile s’enfonce en plein dans le cœur de la vic-

Le projectile passe entre les deux yeux et transperce le cerveau de part en part. La mort est instantanée.

14 mon, entraînant une douloureuse agonie.

15 time, le laissant mort dans une mare de sang.

Le projectile s’enfonce dans un œil, jusqu’à l’os. La mort aura
lieu en 1d10/2 rounds à moins d’obtenir la guérison avant. 15 % Soc permanent, +8 % Intimidation. -15 % aux tests liés
à la vue, CT incluse.

Les résultats à partir de 6-7 (selon la description) impliquent que le projectile est resté coincé dans le membre, qu’il s’agisse
d’une balle ou d’une flèche. Il faut alors le retirer, obligatoirement avec le talent Chirurgie, sous peine de subir un malus au
test de soins pour le guérisseur, et un malus au test d’infection pour le patient.

Pugilat

1
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12

13

14

15

Jambes
Vous envoyez un coup de pied dans la cheville de
votre adversaire. Test d’Ag +20 % pour ne pas tomber et perdre ½ round (+½ round pour se relever).
Vous écrasez le pied de l’adversaire sous votre
botte. Test d’Ag +10 % pour ne pas tomber et
perdre ½ round.
Vous balayez le sol aux pieds de votre adversaire,
ce qui le déséquilibre. Test d’Ag pour ne pas
tomber et perdre ½ round. -5 % CC pour ce round
et le suivant.
Vous mettez un violent coup de pied dans le tibia
de votre adversaire. Test d’E -10 % pour ne pas
tomber et perdre ½ round. -5 % CC pour 1d10/2
rounds.
Vous mettez un coup de genou dans la cuisse de
votre adversaire, tout près de l’aine. Test d’E -10
% pour ne pas tomber et perdre ce round et le suivant. -10 % CC pour 1d10/2 rounds.
Vous saisissez la cheville de votre adversaire pour
la tordre. Test d’E -20 % pour ne pas tomber et
perdre ce round et le suivant. -10 % CC pour 1d10
rounds. -1 M jusqu’à guérison.
Vous envoyez un terrible coup dans la hanche de
votre adversaire. Test d’E -20 % pour ne pas tomber et perdre 1d10/2 rounds. -15 % CC pour 1d10
rounds. -1 M jusqu’à guérison.
Vous mettez un grand coup dans l’aine de votre
adversaire. Test d’E -30 % pour ne pas tomber et
perdre 1d10/2 rounds. -20 % CC pour 1d10
rounds. M/2 jusqu’à la guérison.
Vous envoyez votre talon dans la rotule de votre
adversaire, qui casse sous le choc. Test d’E -30 %
pour ne pas tomber et perdre 1d10 rounds. Une
réussite divise ce temps par deux. M/2 jusqu’à
guérison. -25 % CC pour le reste du combat.
Vous foncez sur votre adversaire, qui trébuche, et
vous retombez lourdement sur sa jambe, qui casse
sous votre poids. Chute immédiate, aucune action
possible pendant 1d10 rounds. M/2 jusqu'à guérison. -30 % CC pour le reste du combat.
Vous écrasez le pied de votre adversaire et lui
cassez 1d10/2 orteils. La fracture se réparera mal
et entraînera un malus de permanent de -1 % en
Ag pour chaque orteil touché. Chute immédiate, 20 % CC pour le reste du combat.
Vous tordez la cheville de votre adversaire à tel point
que vous la cassez. Chute immédiate, aucune action possible pendant 1d10 rounds. La fracture se
réparera mal et entraînera un malus de permanent
de -10 % Ag et M-1.
Vous empoignez le tibia et le genou de votre adversaire pour faire levier et plier la jambe à
l’envers, forçant l’articulation et détruisant la
rotule. Mêmes malus qu’en 12.
Vous vous jetez contre les jambes de votre adversaire, qui bascule en arrière et se fracasse la colonne vertébrale contre le sol, entraînant la paralysie sur un test d’E -20 % raté (1d10 : jambe
droite : 1-4, gauche : 5-8, deux jambes : 9-10).
Vous attrapez la jambe de l’adversaire et le faîte
basculer en arrière. Il retombe sur la tête et se
brise la nuque.

Bras
Vous griffez le bras de votre adversaire. Test d’E +10 % pour ne pas
perdre ½ round.
Vous pliez les doigts de votre adversaire en arrière, causant une
douleur passagère. Test d’E pour ne pas perdre ½ round.
Vous attrapez le poing de votre adversaire pour le tordre douloureusement. Test d’E -10 % pour ne pas perdre ½ round. -5 % CC
pour ce round et le suivant.
Vous tirez le bras de votre adversaire à vous pour le mordre. Test
d’E -10 % pour ne pas perdre ce round et le suivant. -5 % CC pour
1d10/2 rounds.
Vous envoyez un coup fulgurant dans le coude de votre adversaire.
Test d’E -20 % pour ne pas perdre ce round et le suivant. -10 % CC
pour 1d10/2 rounds.
Votre coup percute durement l’épaule. Test d’E -20 % pour ne pas
perdre 1d10/2 rounds. -10 % CC pour 1d10 rounds.
Vous parvenez à saisir le bras de votre adversaire et à le forcer au
coude, sans casser celui-ci. Test d’E -30 % pour ne pas perdre
1d10/2 rounds. -15 % CC pour 1d10 rounds.
Vous faîtes une clef de bras à votre adversaire, et vous forcez pour
détruire le coude. Test d’E -30 % pour ne pas perdre 1d10 rounds.
Une réussite divise ce temps par deux. L’avant bras ne sert plus à
rien jusqu’à ce qu’il soit guéri. -20 % CC pour 1d10 rounds.
Vous plongez sur votre adversaire, qui chute, et vous atterrissez
brutalement sur son bras, qui casse. Aucune action possible pendant 1d10 rounds. L’avant bras ne sert plus à rien jusqu’à ce qu’il
soit guéri par des soins. -25 % CC pour le reste du combat.
Votre coup fracture une clavicule, un fragment osseux manque de
perforer un poumon. Test de FM pour rester debout. La douleur
est insupportable : Test d’E après BE*2 rounds pour éviter
l’évanouissement. Chaque tour suivant, le test se fera à -10 %
cumulatifs. -20 % CC et -20 % F pour le reste du combat.
Vous attrapez la main de votre adversaire et lui cassez 1d10/2
doigts. La fracture se réparera mal et entraînera un malus de
permanent de -2 % en CC et Ag (lors de l’utilisation de cette
main) pour chaque doigt touché. -20 % CC pour le reste du combat.
Vous empoignez le bras de votre adversaire et lui brisez sèchement le poignet. La fracture se réparera mal et entraînera un
malus de permanent de -10 % Ag pour les tests nécessitant l’usage
des deux mains. Aucune action possible pendant 1d10 rounds.
Vous passez derrière votre adversaire pour lui attraper le bras, et
pesez de tout votre poids sur son coude, qui casse dans de grands
craquements. Mêmes malus qu’en 12.
Vous agrippez le bras de votre adversaire et l’envoyez s’écraser au
sol ou contre un obstacle. La colonne vertébrale est brisée, entraînant la paralysie sur un test d’E -20 % raté (1d10 : jambe droite :
1-4, gauche : 5-8, deux jambes : 9-10).
Vous attrapez le bras de votre adversaire pour la faire passer pardessus vous. Il retombe lourdement sur la tête et se brise la
nuque.

Pugilat


Corps

Tête

1

Vous envoyez votre poing dans l’épaule de votre adversaire. Test d’E pour ne pas perdre ½ round.

Vous écrasez votre paume contre le visage de votre adversaire. Les actions se feront en dernier et à -5 % CC ce
round et le suivant, à cause de l’étourdissement.

2

Vous frappez furieusement la poitrine de votre adversaire
du coude. Test d’E -10 % pour ne pas perdre ½ round. -5
% CC pour ce round et le suivant.

3

4

Vous balancez votre poing dans l’estomac de votre adversaire. Test d’E -10 % pour ne pas perdre ce round et le
suivant. -5 % CC pour 1d10/2 rounds.
Vous envoyez une série de coups brutaux dans la poitrine
de votre adversaire. Test d’E -20 % pour ne pas perdre ce
round et le suivant à hurler de douleur. -10 % CC pour
1d10/2 rounds.

Vous frappez votre adversaire le poing serré, à la façon
d’une gifle. Les actions se feront en dernier ce round et le
suivant, pour l’étourdissement. -5 % CC pour 1d10/2
rounds.
Vous parvenez à saisir le crâne de votre adversaire et à le
rouer de coups. Ce round et le suivant sont perdus. -10 %
CC pour 1d10/2 rounds.
Vous claquez les deux oreilles de votre adversaire en
même temps, ce qui le déstabilise. Ce round et le suivant
sont perdus. -10 % CC pour 1d10 rounds.

Vous envoyez un formidable coup de pied dans le flanc de
votre adversaire. Test d’E -20 % pour ne pas perdre
1d10/2 rounds. -10 % CC pour 1d10 rounds.
Vous balancez votre pied dans l’estomac de votre adversaire. Test d’E -30 % pour ne pas perdre 1d10/2 rounds.
-15 % CC pour 1d10 rounds.
Vous envoyez un puissant coup de tête dans le plexus
solaire de votre adversaire, fêlant plusieurs côtes. Test
d’E -30 % pour ne pas perdre 1d10 rounds. Une réussite
divise ce temps par deux. -20 % CC pour 1d10 rounds.

Vous tentez d’étrangler votre adversaire, mais il vous repousse après quelques secondes. Aucune action possible
pour 1d10/2 rounds. -15 % CC pour 1d10 rounds.
Vous envoyez votre pied dans la figure de votre adversaire.
-20 % CC pour 1d10 rounds. Aucune action possible pour
1d10/2 rounds.

8

Vous plaquez votre adversaire au sol et lui brisez de
nombreuses côtes en lui retombant lourdement dessus.
Aucune action possible pour 1d10 rounds. Test d’E pour
ne pas devenir stérile. -25 % CC pour le reste du combat.

9

Vous envoyez deux terribles coups de pied dans l’aine de
votre adversaire. Aucune action possible pendant 1d10
rounds. -30 % CC pour le reste du combat.

Votre poing s’écrase sur le nez de votre adversaire et le
casse. Aucune action possible pour 1d10 rounds. -30 % CC
pour le reste du combat. -5 % Soc permanent, +3 % Intimidation.
Vous envoyez un formidable coup de pied dans la mâchoire
de votre adversaire, lui cassant 1d10 dents. -30 % CC pour
le reste du combat. Aucune action possible pour 1d10
rounds. -1 % Soc permanent et +0.5 % Intimidation par
dent (arrondi au supérieur).

5
6

7

10

11

Votre coup endommage gravement la vésicule biliaire.
Test d’E après BE*2 rounds pour éviter de tomber inconscient. Chaque tour suivant, le test se fera à -10 % cumulatifs. Aucune action possible pendant 1d10 rounds. -30
% CC pour le reste du combat.
Votre coup très brutal provoque une hémorragie au foie :
Test d’E après BE rounds pour éviter de tomber inconscient. Chaque tour suivant, le test se fera à -10 % cumulatifs. Aucune action possible pendant 1d10 rounds. -30
% CC pour le reste du combat.
Vous portez plusieurs coups de genou violents au ventre de

12 votre adversaire, causant un éclatement de la rate. La
mort surviendra en 24 heures à moins d’être guéri.

13

14

15

Vous projetez votre adversaire contre le sol et lui enfoncez le pied dans les côtes. Plusieurs se brisent, et l’une
d’elle perfore un poumon. La mort par perte de sang aura
lieu dans les 1d10 rounds à moins d’être soigné.
Vous propulsez votre adversaire contre le sol ou un obstacle. La colonne vertébrale est brisée, entraînant la paralysie sur un test d’E -20 % raté (1d10 : jambe droite : 14, gauche : 5-8, deux jambes : 9-10).
Vous mettez votre adversaire à terre et lui assenez de
nombreux coups de pied violents au ventre, lui faisant
cracher du sang. Il décède rapidement, plusieurs organes
détruits.

Vous envoyez un gros coup dans la tempe de votre adversaire. -25 % CC pour le reste du combat. Aucune action possible pour 1d10 rounds.

Vous arrachez une oreille à votre adversaire. Aucune action
possible pour 1d10 rounds. -30 % CC pour le reste du combat. -10 % Soc permanent, -10 % Perception auditive, +5
% Intimidation.
Vous mettez un coup dans l’aine de votre adversaire, le
pliant en deux, avant de saisir sa tête à deux mains et de
la projeter contre votre genou. Le nez est cassé, ainsi
qu’1d10 dents. Appliquer les malus des effets 8 et 9.
Vous enfoncez vos doigts dans l’œil de votre adversaire, le
lui crevant, avant de cogner sauvagement son crâne contre
le sol. Aucune action possible pour 1d10 rounds. -15 % Soc
permanent, +8 % Intimidation. -15 % aux tests liés à la
vue, CT incluse. La mort par traumatisme crânien aura lieu
dans les 1d10 heures à moins d’être soigné.
Vous parvenez à sonner votre adversaire, et vous vous jetez sur
lui pour l’étrangler. Il suffoquera en 1d10/2 rounds, même si
vous cessez de l’étrangler, et ne peut pas résister.
Vous envoyez votre poing dans la trachée de votre adversaire. Le coup est fulgurant et détruit le pharynx. Votre
adversaire meurt sur le coup.
Vous attrapez le crâne de votre adversaire et le faîtes pivoter à 90°, brisant la nuque. La mort est instantanée.


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