les réseaux sociaux ne rendent pas accro à Internet PDF
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damien Mascret - le 23/12/2013
Des chercheurs de l'université des sciences et technologie du Missouri ont pour la première fois décortiqué
l'utilisation d'Internet de 69 étudiants pendant deux mois.
Et si l'addiction à Internet dépendait de ce que vous y faite. Pour le savoirs, il a fallu que des volontaires
acceptent d'avoir un mouchard pendant deux mois sur leur ordinateur. Il est vrai qu'il s'agissait de 69 étudiants
en science de l'université des sciences et technologies à Rolla dans le Missouri. Autrement dit, des volontaires
capables de comprendre que le flux de données informatiques recueillies allait passer par un système complexe
de serveurs leur garantissant un parfait anonymat.
Précisons qu'il n'était pas question de se pencher sur le contenu de ce qu'ils allaient regarder mais sur le type
d'activité qu'ils allaient avoir. Par exemple surfer sur le web, jouer en ligne, consulter des emails, aller sur les
réseaux sociaux via facebook ou twitter, télécharger, ou encore chatter.
9 étudiants sur 69 à un seuil d'usage anormal
Le Pr Murali Doraiswamy, psychiatre et spécialiste réputé des neurosciences cognitives de l'université de Duke
(Caroline du Nord) et ses collègues de Rolla, ont également soumis les étudiants à un questionnaire d'addiction,
l'IRPS (Internet Related Problem Scale), l'un des plus utilisé avec l'Internet Addiction Test. Un score élevé
signifiant d'avantage de problèmes liés à l'Internet. Par exemple l'introversion et la difficulté à réduire leur
«consommation» pour les joueurs en ligne ou encore les troubles du sommeil pour ceux qui téléchargent
abondamment.
Les chercheurs se sont aperçus que 9 étudiants sur les 69 se trouvaient à un seuil d'usage anormal avec un
score d'IRPS supérieur à 110 sur 200, traduisant à impact important d'Internet dans leur vie quotidienne, alors
que la plupart des étudiants se situaient entre 30 et 80.
Le plus intéressant vient de l'analyse détaillée de l'utilisation d'Internet. Ceux qui se servent d'Internet pour les
emails, le streaming ou les réseaux sociaux (Facebook,Twitter) présentent les scores d'IRPS les plus bas, donc
le moins de problème.
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