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PROTEGER UN IMMEUBLE
AU TITRE DES
MONUMENTS HISTORIQUES
GUIDE PRATIQUE1

1 D'après les documents mis en ligne sur le site de la région Centre
Direction régionale des affaires culturelles Poitou-Charentes – CRMH 13/09/11

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Introduction
En 1830, le ministre de l'intérieur François Guizot crée le poste d'inspecteur général des monuments
historiques qu'il confie à Ludovic Vitet, puis en 1834 à Prosper Mérimée.
La première liste de monuments «classés» est publiée en 1840. D'autres suivront en 1862 puis en
1875. On compte aujourd'hui en France environ 42 000 immeubles protégés dont 13 400 classés et
28 600 inscrits.
En Poitou-Charentes on compte 2192 monuments protégés : 326 dans les deux-Sèvres, 455 en
Charente, 559 dans la Vienne et 852 en Charente-Maritime
La protection au titre des monuments historiques constitue une servitude pérenne qui suit
l'immeuble en quelques mains qu'il passe. Elle comporte un certain nombre d'avantages et de
contraintes.
Les critères retenus pour de telles protections ont évolué en même temps que s'élargissait la notion
de patrimoine. Les critères les plus souvent retenus sont la qualité architecturale ou artistique, la
représentativité par rapport à un corpus ou à un type, la rareté, l'exemplarité, l'authenticité etc... La
protection peut concerner des immeubles de toutes époques, y compris récentes, et de tous types :
architecture rurale, industrielle, commerciale, paysagère etc...
Ce guide a pour but d'informer les propriétaires publics ou privés d'immeubles souhaitant en
demander la protection au titre des monuments historiques sur les procédures à suivre, sur les
conséquences résultant de telles mesures, sur les personnes ou services à contacter.

Direction régionale des affaires culturelles Poitou-Charentes – CRMH 13/09/11

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1 – La demande de protection et la constitution du dossier
Le code du patrimoine prévoit deux niveaux de protection au titre des monuments historiques :
1. Le classement : en application de l'article L621-1 du code du patrimoine "les immeubles dont la
conservation présente, du point de vue de l'histoire ou de l'art, un intérêt public sont classés comme
monuments historiques en totalité ou en partie par les soins de l'autorité administrative ».
Cette décision fait l'objet d'un arrêté du ministre chargé de la culture.
2. L'inscription (Article L621-25 du code du patrimoine) concerne quant à elle "les immeubles qui,
sans justifier une demande de classement immédiat, présentent un intérêt d'histoire ou d'art
suffisant pour en rendre désirable la préservation". Ces immeubles peuvent être inscrits au titre des
monuments historiques par arrêté du préfet de région.
La procédure de protection est initiée et instruite par les services de l'État (direction régionale des
affaires culturelles, conservation régionale des monuments historiques – service régional de
l'archéologie), soit à la demande de « toute personne y ayant intérêt » (propriétaire de l'immeuble,
collectivité locale, association, etc.) soit à l'initiative de l'administration, au terme d'un recensement
systématique (zone géographique, typologie ou thématique particulière) ou encore lorsque le
bâtiment est en danger.
La constitution du dossier :
Le dossier de protection est habituellement constitué par les documentalistes recenseurs de la
conservation régionale des monuments historiques. Il comprend un volet administratif (situation au
regard de l'urbanisme, situation de propriété, données cadastrales...) et une partie documentaire
donnant des renseignements détaillés sur l'immeuble (historique, descriptif) et comprenant tous
documents indispensables à l'identification et à l'évaluation de l'intérêt de l'immeuble
(photographies, plans, croquis, bibliographie, extraits d'articles, documents d'archives ...).
Les personnes publiques ou privées sollicitant la protection sont invitées à fournir un dossier
préliminaire comportant les éléments documentaires en leur possession sur l'immeuble concerné et
justifiant la demande.
Les services de la DRAC chargés de l'instruction de la demande effectuent, sous réserve de l'accord
du propriétaire, une visite complète de l'édifice, et prennent les photographies nécessaires à la
constitution du dossier. Ils procèdent aux recherches de bibliographie et d'archives nécessaires à
l'étude du monument.
Chacune des demandes fait l'objet d'un avis de l'architecte en chef des monuments historiques, de
l'architecte des bâtiments de France, du conservateur régional des monuments historiques, du
conservateur régional de l'archéologie et du chef de service régional de l'inventaire général du
patrimoine culturel.
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2 - L'examen par les commissions compétentes
et la décision de protection
La commission régionale du patrimoine et des sites (CRPS)
La commission nationale des monuments historiques (CNMH)
Le dossier est ensuite soumis pour avis à la commission régionale du patrimoine et des sites
instituée par l'article L.621-1 et par les articles R.612-1 à R.612-9 du code du patrimoine. Dans un
premier temps, il est examiné par la délégation permanente de la CRPS qui est chargée d'évaluer
l'opportunité d'une instruction approfondie et d'une présentation en commission plénière. La
délégation peut également donner un avis défavorable à une mesure de protection, mettant un terme
à l'instruction du dossier.
La C.R.P.S, qui comprend 32 membres, est présidée par le préfet de région. Elle rassemble des
représentants de l'administration, des élus locaux, des représentants d'associations, des personnalités
qualifiées dans le domaine du patrimoine (professionnels et historiens d'art).
Elle se réunit au moins trois fois par an sur convocation de son président et émet un avis sur les
propositions de protection qui lui sont soumises. Le préfet de région peut alors décider de
l'inscription de l'immeuble ou proposer son classement au ministre chargé de la culture.
L'inscription
Si l'avis est favorable à l'inscription de l'immeuble au titre des monuments historiques, l'arrêté
préparé par les services de la DRAC, après l'approbation du procès verbal, est proposé à la signature
du préfet de région.
Le classement
Si la commission propose le classement de l'immeuble au titre des monuments historiques, le préfet
de région peut prendre à titre conservatoire, un arrêté d'inscription. Il transmet le dossier au ministre
chargé de la culture qui le soumet à la Commission nationale des monuments historiques. Celleci, sur présentation du dossier par le service régional instructeur et sur rapport de l'inspection des
patrimoines, peut soit proposer le classement (le propriétaire est alors invité à formuler son accord
par écrit), soit estimer suffisante l'inscription.
L'arrêté de classement ou l'arrêté de protection mixte (classement et inscription de parties distinctes
d'un même immeuble) est signé par le ministre. Cet arrêté de classement ou de protection mixte se
substitue à un éventuel arrêté d'inscription antérieur.
Peut-on refuser la protection ?
Le propriétaire et le maire de la commune sont obligatoirement informés de la procédure de
protection en cours. Toutefois, la décision d'inscription peut être prise sans leur consentement.
A l'inverse, le classement doit recueillir l'accord formel du ou des propriétaires. En cas de refus de
ce(s) dernier(s), le ministre chargé de la culture peut engager la procédure de classement d'office.
Dans ce cas, et après avis de la Commission nationale, le classement peut être prononcé par décret
en Conseil d'État.
L'instance de classement
Dans le cas où l'immeuble est menacé de disparition ou d'altération imminente, le ministre chargé
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de la culture peut prendre une décision d'instance de classement (article L.621-7 du code du
patrimoine). Dès que le propriétaire en a reçu notification, tous les effets du classement s'appliquent
à l'immeuble considéré pendant un an, délai pendant lequel l'administration peut mettre en œuvre la
procédure normale de protection.

3 – La notification et la publication
La protection au titre des monuments historiques (classement ou inscription) constitue une
servitude qui suit l'immeuble en quelques mains qu'il passe. Pour être opposable au propriétaire,
la décision doit, dans un premier temps, lui être notifiée. Elle est également notifiée aux
administrations intéressées (mairie, préfecture...).
L'arrêté d'inscription est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de région.
Cette formalité est nécessaire pour rendre l'acte de protection opposable aux tiers.
La liste des arrêtés de classement et d'inscription de l'année est par ailleurs publiée au Journal
officiel de la République Française.

Les arrêtés de classement et les arrêtés d'inscription font également l'objet d'une publication au
registre des hypothèques de la situation de l'immeuble protégé, afin de garantir l'information des
futurs propriétaires concernant la servitude attachée au monument.

4 - Les conséquences de la protection

au titre des monuments historiques
Les obligations du propriétaire :
Tout transfert de propriété intéressant un immeuble protégé doit être signalé par le notaire à
l'autorité compétente (DRAC).
Immeubles inscrits :
L'inscription entraîne pour les propriétaires «l'obligation de ne procéder à aucune modification de
l'immeuble ou partie de l'immeuble inscrit sans avoir, quatre mois auparavant, avisé le préfet de
région de leur intention et indiqué les travaux qu'ils se proposent d'effectuer» (article L.621-27 du
code du patrimoine). Le préfet de région ne peut s'opposer à ces travaux qu'en engageant la
procédure de classement au titre des monuments historiques de l'immeuble.
Toutefois, lorsque les travaux sont soumis à permis de construire, à permis de démolir, à permis
d'aménager ou à déclaration préalable au titre du code de l'urbanisme, le permis ne peut être accordé
qu'après accord du préfet de région.
Immeubles classés :
"L'immeuble classé [au titre des monuments historiques] ne peut être détruit ou déplacé, même en
partie, ni être l'objet d'un travail de restauration, de réparation ou de modification quelconque,
sans autorisation de l'autorité administrative» (Article L.621-9 du code du patrimoine).
Les travaux affectant un immeuble classé doivent faire l'objet d'une demande d'autorisation déposée
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auprès du service territorial de l'architecture (voir le guide sur les travaux).
L'immeuble classé ne peut s'acquérir par prescription. On ne peut lui appliquer de servitudes légales
pouvant lui causer des dégradations, c'est à dire essentiellement les servitudes d'urbanisme
(alignement). Il ne peut être exproprié sans que le ministre chargé de la culture ait été consulté.
En cas de péril pour la conservation d'un immeuble classé, «l'autorité administrative peut, après
avis de la Commission nationale des monuments historiques, mettre en demeure le propriétaire de
procéder aux travaux» (Article L.621-12 du code du patrimoine), puis, en l'absence de réponse,
exécuter d'office les travaux, ou poursuivre l'expropriation de l'immeuble au nom de l'Etat» (article
L.621-13 du code du patrimoine).
Les travaux de restauration (voir le guide Restaurer un monument historique)
Les travaux d'entretien, de réparation et de restauration peuvent bénéficier d'une participation
financière de l'État qui n'exclut pas les aides que d'autres collectivités peuvent consentir au maître
d'ouvrage. Ils sont effectués sous le contrôle scientifique et technique de l'administration (DRAC).
Les travaux autorisés sur un immeuble inscrit sont réalisés par le propriétaire avec le concours de
l'architecte et des entreprises de son choix. Ceux qui contribuent à la conservation de l'édifice,
peuvent bénéficier d'une participation financière de l'État qui ne peut excéder 40 % du montant
total.
Les travaux autorisés sur un immeuble classé sont exécutés par le propriétaire. L'architecte est
choisi par ce dernier dans le cadre prévu aux articles R.621-25 et suivants du code du patrimoine.
Le montant de la participation éventuelle de l'État est déterminé en tenant compte de l'urgence des
travaux, de l'ouverture du monument au public, des moyens budgétaires dont dispose l'État.

5 - Les abords
«Est considéré, pour l'application du présent titre, comme situé dans le champ de visibilité d'un
immeuble classé ou inscrit, tout autre immeuble, nu ou bâti, visible du premier ou visible en même
temps que lui et situé dans un périmètre de 500 mètres» (article L621-30-1 du code du patrimoine).
En accord avec l'architecte des bâtiments de France, ce périmètre peut être adapté lors de
l'instruction du dossier de protection : périmètre de protection adapté dit PPA. Il peut également
faire l'objet d'une modification ultérieure : périmètre de protection modifié dit PPM.
Toute construction, restauration, destruction projetée dans ce champ de visibilité doit obtenir
l'accord préalable de l'architecte des bâtiments de France (avis conforme) qui peut assortir son avis
de prescriptions architecturales.
Cette disposition n'interdit pas toute transformation du bâti ni toute construction nouvelle, mais elle
les soumet au respect d'un certain nombre de règles en matière d'urbanisme, de volumétrie, d'aspect
extérieur et de qualité des matériaux.
En cas de désaccord avec l'avis conforme de l'architecte des bâtiments de France, le maire ou le
demandeur peuvent exercer un droit de recours au préfet de région, lequel prend, après avis de la
CRPS (article L621-31 du code du patrimoine) une décision qui confirme l'avis de l'ABF ou s'y
substitue.
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La possibilité est également offerte aux communes de substituer aux périmètres fixes de protection
une aire de mise en Valeur de l'Architecture et du Patrimoine (AVAP) qui, par une procédure
concertée associant étroitement la commune et l'État, permet de définir un zonage plus pertinent et
un règlement auquel l'avis de l'architecte des bâtiments de France peut se référer.
La création d'une AVAP est à l'initiative de la commune. Le projet de périmètre et le règlement font
l'objet d'un examen et d'un avis de la CRPS. Après accord du préfet de région, L'AVAP est créée par
un arrêté municipal.

6 - Le régime fiscal du propriétaire
La part du coût des travaux restant à la charge du propriétaire sur un immeuble classé ou inscrit au
titre des monuments historiques est déductible à 100 % du revenu imposable lorsque le
monument est ouvert au public. Lorsque le monument est fermé à la visite, la déduction du
revenu imposable s'élèvera à 100 % de la part restant à la charge du propriétaire si les travaux sont
subventionnés par l'État, à 50 % dans le cas contraire.
Les autres frais (frais de gérance, rémunération des gardiens, dépenses d'entretien, d'amélioration,
intérêts d'emprunts contractés pour la conservation du monument, à l'exclusion des frais engagés
pour des travaux d'agrandissement ou de (re)construction) sont déductibles à 100 % si le monument
est ouvert à la visite, à 50 % dans le cas contraire.
Un monument est considéré comme ouvert à la visite dès qu'il accueille le public soit 50 jours
par an, dont 25 jours non ouvrables, au cours des mois d'avril à septembre inclus, soit 40 jours
durant les mois de juillet, août et septembre.
Les sommes encaissées à titre de droit d'entrée ou de vente de produits commerciaux annexes sont
exonérées de TVA mais le propriétaire peut renoncer à cet avantage, afin de bénéficier d'une
exonération de cet impôt sur le coût des travaux sur les parties de son monument accessibles au
public.
La loi de finances pour 2009 impose par ailleurs au propriétaire, pour accéder à ce régime fiscal,
de conserver la propriété de l'immeuble concerné pendant une durée minimale de 15 ans à compter
de son acquisition. De plus, les immeubles détenus par une société civile immobilière non soumise
à l'impôt sur les sociétés et ne présentant pas de caractère familial, et les immeubles en copropriété
ne peuvent bénéficier de ce régime que sur agrément du ministère du budget, après avis du
ministère de la culture, délivré lorsque l'intérêt patrimonial du monument et l'importance des
charges relatives à son entretien justifient ce type d'organisation.
Une exonération des droits de mutation à titre gratuit en faveur des propriétaires d'immeubles
classés ou inscrits au titre des monuments historiques a été instituée par la loi du 5 janvier 1988.
Ce dispositif permet l'exonération des droits de succession ou de donation, moyennant la passation
d'une convention entre le propriétaire et l'État, prévoyant notamment les conditions d'ouverture au
public du monument, le maintien sur place et la présentation aux visiteurs des objets mobiliers ou
immeubles par destination dont la liste est annexée à la convention.
Les sommes affectées par des mécènes à la conservation ou à la restauration de monuments
historiques peuvent également bénéficier de déductions fiscales dans le cadre de la loi n°2003-709
du 1er août 2003 sur le mécénat.

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7. Adresses utiles
Services déconcentrés du Ministère de la culture et de la
communication
DIRECTION RÉGIONALE DES AFFAIRES CULTURELLES POITOU-CHARENTES
Conservation régionale des monuments historiques
102 Grand'rue - BP 553 - 86020 POITIERS CEDEX
05.49.36.30.10 Fax : 05.49.88.67.38
Conservateur régional : M. Pierre CAZENAVE (pierre.cazenave@culure.gouv.fr 05.49.36.30.10)
Conservateur du patrimoine : Mme Anne EMBS (anne.embs@culture.gouv.fr 05.49.36.30.31)
Bureau Travaux et Marchés :
M. Paul BOUBLI (17) (paul.boubli@culture.gouv.fr 05.49.36.21.58)
M. Jean-Pierre CREMIER (86-79) (jean-pierre.cremier@culture.gouv.fr 05.49.36.30.61)
05.49.36.30.13)
Mme Agnès BEAUFORT (16) (agnes.beaufort@culture.gouv.fr Bureau protection :
Mme Brigitte MONTAGNE (brigitte.montagne@culture.gouv.fr 05.49.36.30.14)
M. Yannick COMTE (yannick.comte@culture.gouv.fr 05.49.36.30.14)
05.49.36.30.34)
Espaces protégés : Mme Catherine GAUDY (catherine.gaudy@culture.gouv.fr -

ARCHITECTES DES BÂTIMENTS DE FRANCE :
Charente : Mme HANSEMANN Cité administrative Bâtiment B, Rue Raymond Poincaré Champ de Mars
16000 ANGOULEME
05.45.97.97.92
Charente maritime : M. BOISROBERT Cité administrative Chasseloup-Laubat, avenue de la Porte
Dauphine 17025 LA ROCHELLE Cedex 1
05.46.41.80.11
Deux-Sèvres : M. PARRAS 11, rue Alsace Lorraine BP 38711- 79027 NIORT Cedex
Vienne : M. DELFOUR - 100 Grand-rue 86020 POITIERS Cedex


DIRECTION GENERALE DES
Cedex
05 56 01 67 06

05.49.06.39.68

05.49.55.63.25



IMPÔTS

(Service des agréments fiscaux) : 13, rue Thiac 33061 BORDEAUX

Sites internet
Direction régionale des affaires culturelles : http://www.poitou-charentes.culture.gouv.fr/
Ministère de la Culture et de la communication: http://www.culture.gouv.fr/

Architectes et intervenants :
Architectes en chef des monuments historiques: http://www.acmh.info/acm ou
hhttp://www.culture.gouv.fr/champagne-ardenne/pdf/liste_acmh.pdf
Architectes du patrimoine: http://apassos.free.fr
Restaurateurs d'oeuvres d'art: http://www.ffcr.fr/

Réglementation :
Lois et règlements: http://www.legifrance.gouv.fr/
Services fiscaux : www.impots.gouv.fr/

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Examen par la Commission nationale des

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